Tard dans la nuit du 19 mai, les quatre commissions du 6ème congrès du RNI ont finalisé leur rapports

Le Conseil national du Rassemblement National des Indépendants a élu, le samedi 20 mai, les membres du Bureau politique et ceux des commissions internes du parti, après l’adoption des nouveaux statuts du parti.
Le président du RNI, M. Aziz Akhannouch avait souligné l’importance des conditions démocratiques du débat interne qui s’est d’ailleurs déroulé en toute sérénité, responsabilité et conscience et qui ont mis la formation sur la voie de la modernisation.
En outre, le Conseil national a élu les membres des organisations régionales des instances Femmes et Jeunes, ainsi que leurs bureaux fédéraux. Le Conseil national a également élu, à l’unanimité, les membres des commissions de contrôle financier, de discipline, d’arbitrage, des Marocains du monde, de l’équité et de l’égalité des chances.
Ci-après la liste des membres du Bureau politique du Rassemblement National des Indépendants
Aziz Akhannouch, président, Mohamed Abbou, Mohamed Bouhdoud Boudlal, Abdelkader Salama, Hassan Benomar, Abdellah El Ghazi, Mohamed Rozma, Mohamed Bouhriz, Fatema Marouane et Nawal El Moutawakel, Jalila Morsli, Nabila Rmili et Hassan El Filali. Le Bureau politique du RNI comprend également Mohamed Kabbaj, Hassan Oukacha, Mohamed Boudrika, Chafik Benkirane, Badr Tahiri, Moncef Belkhayat, Anis Birou et Saïd Chbaâtou.
En plus des membres élus es-qualité, SalaheddineMezouar, Mustapha Mansouri , Mustapha Baitas, Hassan Belkhayat, Saadedine Berrada, Omar Moro, Mohamed Boussaid, Moulay Hafid Elalamy, Rachid Talbi Alami, Mohamed Aujjar, M’BarkaBouaida, Lamia Boutaleb, Taoufik Kamel, Mohamed Bekkouri, Amina Benkhadra et Youssef Chiri.
Le Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Equipement, du transport, de la logistique et de l’eau, chargé du transport, Mohamed Najib Boulif, a affirmé, jeudi, que l’effort se portera durant la prochaine décennie sur la mise en œuvre d’une stratégie nationale de la sécurité routière visant essentiellement la réduction de 50% du nombre des accidents d’ici 2026.
Dans un communiqué lu à l’issue du Conseil de gouvernement, réuni à Rabat sous la présidence du chef du gouvernement, Saad-Eddine El Othmani, le ministre délégué chargé des Relations avec le parlement et la Société civile, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi, a indiqué que M. Boulif a présenté un exposé sur la sécurité routière.
Le Secrétaire d’Etat a souligné qu’après les résultats réalisés au cours de la période 2004-2013, l’accent sera mis dans les dix prochaines années sur la concrétisation d’une stratégie nationale en la matière, compte tenu du développement soutenu du parc automobile. Il a, dans le même contexte, expliqué que cette stratégie prévoit aussi le développement d’un système de transport avec des routes et des véhicules plus sûrs tout en assurant des secours plus rapides. Elle comprend en outre l’organisation de campagnes de sensibilisation à la sécurité routière de sorte à faire prévaloir une gestion efficace en la matière et à lutter contre les comportements contraires à la loi.
S’agissant du bilan de 2016, M. Boulif a fait savoir que 81.000 accidents ont fait 3.593 morts et 8.950 blessés graves. Il a relevé que le nombre d’accidents meurtriers est resté stable l’année dernière en comparaison avec les chiffres de 2015. Par rapport à 2012, le nombre de décès est passé de 4.095 à 3.593 en 2016, soit une baisse notable de 8%, a-t-il précisé. D’après lui, les données des trois premiers mois de 2017 font ressortir un recul de 5,6% des décès par rapport à la même période de l’année dernière.
Il a, d’autre part, salué les efforts consentis par toutes les parties concernées, notamment la Gendarmerie royale, la sûreté nationale et les services du ministère de l’Equipement, du transport, de la logistique et de l’eau. Au cours de 2016, la Gendarmerie royale a enregistré plus de 1,07 million de infractions, dont 343.000 relevées par des radars mobiles et 71.000 par des radars fixes.
De son côté, la sûreté nationale a enregistré plus de 1,8 million de infractions, dont 211.000 liées à l’excès de vitesse, a fait savoir M. Boulif, notant que le centre d’appel 4646, lancé en mars 2016, a reçu plus de 1,274 million appels, ce qui reflète l’adhésion croissante des citoyens aux programmes de sécurité routière.
Evoquant les radars fixes, le responsable a indiqué que cette mesure a permis l’établissement de 1,481 million procès-verbaux en 2016 contre 419.000 un an auparavant.
Avec MAP
Suite à l’agression physique d’un diplomate algérien contre un diplomate marocain lors d’une réunion du Comité 24 des Nations Unies, qui se tient à Saint Vincent et Grenadines, l’ONU a qualifié de « malheureux » le fait que cette réunion ne se soit pas déroulée d’une manière pacifique.
“Evidemment, nous sommes présents pour assurer que les réunions se déroulent de manière pacifique”, a déclaré aux journalistes un porte-parole de l’ONU, Farhan Haq, ajoutant: “Malheureusement, ce n’est pas ce qui s’est passé dans ce cas particulier”.
A rappeler que le chef de mission adjoint près l’ambassade du Maroc à Castries (Sainte Lucie), M. Mohamed Ali El Khamlichi, a été victime, jeudi à St Vincent et Grenadines, d’une agression physique de la part du directeur général du ministère algérien des Affaires étrangères, et chef de la délégation algérienne, M. Soufiane Mimouni.
“Nous espérons que les futures réunions du C24 se dérouleront d’une manière pacifique”, a dit M. Haq.
Réagissant à cet incident, le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale a précisé qu’au moment où plusieurs pays ont soutenu la participation des représentants légitimement élus des populations des provinces du Sud du Royaume, le numéro 3 du ministère algérien des Affaires étrangères s’en est pris, dans un état d’hystérie, au diplomate marocain, en présence des délégations des pays participant et du secrétariat de l’ONU.
M. El Khamlichi a été transporté à l’hôpital pour recevoir les soins nécessaires, poursuit le ministère, ajoutant qu’une plainte, accompagnée d’un rapport médical détaillé, a été déposée par la victime devant la police locale, à l’encontre de M. Soufiane Mimouni.
MAP
Le Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Equipement, du transport, de la logistique et de l’eau, chargé du transport, Mohamed Najib Boulif, a affirmé, jeudi, que l’effort se portera durant la prochaine décennie sur la mise en œuvre d’une stratégie nationale de la sécurité routière visant essentiellement la réduction de 50% du nombre des accidents d’ici 2026.
Dans un communiqué lu à l’issue du Conseil de gouvernement, réuni à Rabat sous la présidence du chef du gouvernement, Saad-Eddine El Othmani, le ministre délégué chargé des Relations avec le parlement et la Société civile, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi, a indiqué que M. Boulif a présenté un exposé sur la sécurité routière.
Le Secrétaire d’Etat a souligné qu’après les résultats réalisés au cours de la période 2004-2013, l’accent sera mis dans les dix prochaines années sur la concrétisation d’une stratégie nationale en la matière, compte tenu du développement soutenu du parc automobile. Il a, dans le même contexte, expliqué que cette stratégie prévoit aussi le développement d’un système de transport avec des routes et des véhicules plus sûrs tout en assurant des secours plus rapides. Elle comprend en outre l’organisation de campagnes de sensibilisation à la sécurité routière de sorte à faire prévaloir une gestion efficace en la matière et à lutter contre les comportements contraires à la loi.
S’agissant du bilan de 2016, M. Boulif a fait savoir que 81.000 accidents ont fait 3.593 morts et 8.950 blessés graves. Il a relevé que le nombre d’accidents meurtriers est resté stable l’année dernière en comparaison avec les chiffres de 2015. Par rapport à 2012, le nombre de décès est passé de 4.095 à 3.593 en 2016, soit une baisse notable de 8%, a-t-il précisé. D’après lui, les données des trois premiers mois de 2017 font ressortir un recul de 5,6% des décès par rapport à la même période de l’année dernière.
Il a, d’autre part, salué les efforts consentis par toutes les parties concernées, notamment la Gendarmerie royale, la sûreté nationale et les services du ministère de l’Equipement, du transport, de la logistique et de l’eau. Au cours de 2016, la Gendarmerie royale a enregistré plus de 1,07 million de infractions, dont 343.000 relevées par des radars mobiles et 71.000 par des radars fixes.
De son côté, la sûreté nationale a enregistré plus de 1,8 million de infractions, dont 211.000 liées à l’excès de vitesse, a fait savoir M. Boulif, notant que le centre d’appel 4646, lancé en mars 2016, a reçu plus de 1,274 million appels, ce qui reflète l’adhésion croissante des citoyens aux programmes de sécurité routière.
Evoquant les radars fixes, le responsable a indiqué que cette mesure a permis l’établissement de 1,481 million procès-verbaux en 2016 contre 419.000 un an auparavant.
Avec MAP
Dans une atmosphère où règnent la responsabilité et la conscience de l’importance de cette étape, les congrès provinciaux du RNI, qui se succèdent depuis le début de ce mois, ont pavé la voie au congrès national du parti qui se tient les 19, 20 et 21mai 2017. Ces différents événements ont présenté une image exemplaire de ce qu’est l’engagement et l’implication de nos militants pour la réussite du projet de restructuration du parti et la création de ses organisations parallèles. La dynamique née chez les coordinations dans les différentes régions du Royaume, ainsi que la forte participation à la préparation du congrès national du RNI ont prouvé encore une fois que nos militants ne manquent jamais les grands rendez-vous avec l’histoire. Chacun participe à son niveau dans le succès de ce grand chantier qui a été lancé au lendemain du congrès extraordinaire du parti en octobre dernier. La pratique démocratique a caractérisé les congrès provinciaux, tout au long de leurs déroulement, que ce soit dans l’adoption des rapports des commissions, dans l’élection des congressistes et représentants des régions au sein des organisations des femmes, des jeunes ou des élusou encore pour ce qui est des échanges autour du projet de statuts du parti. Au cœur de ce succès, la mobilisation et l’union autour d’un projet commun, les militants du RNI ont fait passé un message clair ; celui d’une mobilisation totale et sincère pour réussir l’étape du congrès national et l’annonce d’une nouvelle ère basée sur le travail et l’engagement. Cette mobilisation est un miroir du militantisme de ses femmes et hommes, ainsi qu’un entérinement d’un travail partisan sérieux, responsable et fidèle aux principes sur lesquels est fondé le RNI. Cette dynamique implique aujourd’hui que l’on redouble les efforts et que l’on adapte nos actions aux défis de cette étape pour ancrer le RNI dans une dynamique continue dont l’objectif est de servir notre pays.
Dans une atmosphère où règnent la responsabilité et la conscience de l’importance de cette étape, les congrès provinciaux du RNI, qui se succèdent depuis le début de ce mois, ont pavé la voie au congrès national du parti qui se tient les 19, 20 et 21mai 2017. Ces différents événements ont présenté une image exemplaire de ce qu’est l’engagement et l’implication de nos militants pour la réussite du projet de restructuration du parti et la création de ses organisations parallèles. La dynamique née chez les coordinations dans les différentes régions du Royaume, ainsi que la forte participation à la préparation du congrès national du RNI ont prouvé encore une fois que nos militants ne manquent jamais les grands rendez-vous avec l’histoire. Chacun participe à son niveau dans le succès de ce grand chantier qui a été lancé au lendemain du congrès extraordinaire du parti en octobre dernier. La pratique démocratique a caractérisé les congrès provinciaux, tout au long de leurs déroulement, que ce soit dans l’adoption des rapports des commissions, dans l’élection des congressistes et représentants des régions au sein des organisations des femmes, des jeunes ou des élusou encore pour ce qui est des échanges autour du projet de statuts du parti. Au cœur de ce succès, la mobilisation et l’union autour d’un projet commun, les militants du RNI ont fait passé un message clair ; celui d’une mobilisation totale et sincère pour réussir l’étape du congrès national et l’annonce d’une nouvelle ère basée sur le travail et l’engagement. Cette mobilisation est un miroir du militantisme de ses femmes et hommes, ainsi qu’un entérinement d’un travail partisan sérieux, responsable et fidèle aux principes sur lesquels est fondé le RNI. Cette dynamique implique aujourd’hui que l’on redouble les efforts et que l’on adapte nos actions aux défis de cette étape pour ancrer le RNI dans une dynamique continue dont l’objectif est de servir notre pays.