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M. Akhannouch à Bruxelles pour faire le point sur la coopération Maroc-UE

M. Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts s’est entretenu, mardi à Bruxelles, avec M. Karmenu Vella, commissaire européen à l’Environnement, aux Affaires maritimes et à la Pêche. Lors de cette entrevue, les deux parties ont fait le point sur la coopération stratégique entre le Maroc et l’Union européenne en particulier dans le domaine de la pêche maritime. MAP

Sa Majesté le Roi reçoit les cinq nouveaux ministres que le Souverain nomme membres du gouvernement

SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a reçu lundi 4 Joumada 1-er 1439 H, correspondant au 22 janvier 2018, au Palais Royal à Casablanca, les cinq nouveaux ministres, en présence du chef du gouvernement, que le Souverain a nommés membres du gouvernement conformément aux dispositions de l’article 47 de la Constitution. Il s’agit de : M. Abdelahad Fassi Fihri, ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville. M. Saïd Amzazi, ministre de l’Education nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique M. Anas Doukkali, ministre de la Santé. M. Mohcine Jazouli, ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, chargé de la Coopération africaine. M. Mohamed El Gharass, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, chargé de la formation professionnelle. Par la suite, les nouveaux ministres ont prêté serment devant Sa Majesté le Roi. Ensuite, Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, a présidé une réunion avec les nouveaux ministres, en présence du chef du gouvernement. A cette occasion, Sa Majesté le Roi a posé pour une photo-souvenir avec les membres du gouvernement. MAP

A Fès, M. Akhannouch présente de nouvelles propositions dans le cadre de l’offre en cours de finalisation du RNI pour les secteurs de l’emploi, la santé et l’éducation

A l’issue du Congrès national du RNI tenu en mai 2017, le RNI s’était engagé à apporter des solutions tangibles pour des secteurs-clés qui sont l’emploi, la santé et l’éducation. Dans le cadre d’une offre globale en cours de finalisation et après une réflexion menée par les différentes structures du parti, des premières propositions ont été annoncées à mi-parcours des congrès régionaux du RNI. Ces recommandations seront enrichies à chaque étape des congrès régionaux, afin de construire un projet social clair et concret que le parti s’engage à défendre. L’offre apportée par le RNI sera exposée le 24 février à Agadir. Lors du Congrès Régional du RNI, tenu le 21 janvier à Fès, M. Akhannouch a proposé des mesures qui ont pour objectifs l’amélioration du service apporté au citoyen dans les domaines de la santé, l’éducation et la santé. Emlpoi: la possibilité de graver les échelons… Dans le domaine de l’emploi, l’objectif premier du RNI est de permettre l’ascension sociale du citoyen. Pour M. akhannouch, ceci passe inévitablement par l’accès à un travail décent. Celui-ci étant est une clé de dignité pour le citoyen. Le RNI propose plusieurs solutions pour lutter contre le chômage et améliorer la situation des travailleurs. Une proposition de former un million de jeunes sur 5 ans a été faite dans ce sens. M. Akhannouch a également tiré la sonnette d’alarme quant à la situation des personnes non diplômées et sans savoir-faire confirmé. Pour cette catégorie, le RNI propose une formation professionnelle gratuite qui peut faciliter leur insertion sociale. Ces jeunes seront également encouragés à faire de l’auto-entreprenariat, ou à s’organiser en groupement de services. A côté de cela, M. Akhannouch a relevé la question des diplômés chômeurs. Il a souligné qu’au Maroc, plus le citoyen fait des études poussées, plus son exposition au chômage est importante. Le RNI propose d’orienter ces jeunes vers des horizons prometteurs. Pour ce faire, l’option d’une requalification leur permettant d accéder au marché de l’emploi a été proposée. Les propositions du RNI dans ce domaine prévoient également une révision de l’arsenal juridique de la formation continue. Le RNI compte à ce titre défendre l’accès aux fonctionnaires dans les secteurs privé et public de bénéficier de la formation continue. Education : Le RNI veut généraliser le préscolaire S’agissant de l’éducation, M. Akhannouch a attiré l’attention sur l’accès limité des enfants marocains au préscolaire. La réforme de l’éducation devrait passer par la garantie de l’accès des enfants entre 4 et 5 ans accès au préscolaire, et ceci en élargissant l’offre éducationnelle du cycle primaire à travers la réhabilitation et l’utilisation des crèches qui relèvent du ministère de la Jeunesse et des Sports dans les zones urbaines ainsi qu’à travers la réhabilitation des écoles dans le monde rural au profit du préscolaire après la mise en place des écoles communales. Le Président du RNI a indiqué à ce titre que tous les enfants marocains, dans le milieu rural et celui urbain, doivent bénéficier du parcours préscolaire avant de passer au primaire. Cela étant un facteur déterminant dans leur succès. Pour ce qui est des éducateurs, le RNI propose d’investir davantage dans leur formation. Ce chantier pouvant être une vraie niche d’emploi également. M. Akhannouch a indiqué par ailleurs que l’Etat devrait offrir un fond d’amorçage pour lancer ce chantier de réforme du préscolaire. Santé : Vers une meilleure contractualisation entre les médecins et l’Etat La santé est un chantier qui occupe une place importante dans la réflexion que mènent les différents comités et organisations du RNI. M. Akhannouch a attiré l’attention sur l’importance de la reconnaissance de la particularité de la médecine et la révision de la situation du médecin dans le secteur public. Il a indiqué dans ce sens que le RNI va proposer un statut spécial pour le médecin avec la mise en place d’un système contractuelle entre l’Etat et les médecins pour définir les responsabilités et engagements de chaque partie. L’Etat s’engagera via ce contrat à améliorer la situation des cadres médicaux notamment ceux exerçant dans le milieu rural à travers la mise en place d’un système d’indemnisation et de conditions de travail et de vie adéquates. L’élaboration d’un cadre légal pour permettre aux médecins d’exercer dans le privé et le public est également une proposition annoncée par le RNI.

Ouarzazate: le tourisme continue d’enregistrer de « très bons résultats », une évolution des nuitées à deux chiffres depuis début 2017

Le nombre des touristes ayant visité la province de Ouarzazate, durant les onze premiers mois de 2017, s’élève à 244.201, contre 177.445 au cours de la même période en 2016, soit une progression de 38 pc. Cette hausse s’explique par l’évolution (+ 44 pc) de l’effectif des touristes non-résidents (+ ¾ du volume global), puisque leur volume est passé de 132.245 en 2016 à 189.947, et aussi par l’évolution du nombre d’arrivées des résidents qui est passé de 45.200 en 2016 à 54.527 en 2017 (+ 20 pc), indique le Conseil provincial du tourisme (CPT), rappelant l’importance du secteur qui constitue « la locomotive du développement socio-économique de toute la région ». Selon la même source, la France, premier marché émetteur avec 11,95 pc des arrivées globales de la destination, a vu son volume s’apprécier de 31 pc, passant de 22.220 entre janvier et novembre 2016 à 29.195 pour la même période de 2017. En deuxième position, les visiteurs espagnols sont passés de 14.634 en 2016 à 22.293 en 2017, soit une progression de 52 pc. Les autres marchés classiques ont enregistré des hausses de 4 pc pour le Royaume Uni, 36 pc pour l’Italie et 32 pc pour la Hollande. « Les meilleures performances » ont été relevées au niveau du marché asiatique, fait observer le CPT. En effet, le nombre de touristes japonais est passé de 7.887 en 2016 à 13.400 en 2017 (+ 70 pc), alors que le marché chinois continue d’enregistrer des « performances spectaculaires » puisque l’effectif des touristes est passé de néant en 2016 à 18.827 en 2017, indique le CPT, relevant que la suppression du visa d’accès au Maroc pour les Chinois a été « très bénéfique » pour la filière. Pour les nuitées enregistrées l’année dernière dans les établissements d’hébergement classés de la province, Ouarzazate arrive en 2è place en termes de progression au niveau national (+36 pc), le volume des nuitées est passé, en effet, de 265.591 au cours des onze premiers mois de 2016 à 360.607 durant la même période en 2017. Par ailleurs, les nuitées des non-résidents sont passées de 187.570 en 2016 à 275.411 en 2017 (+47 pc), alors que la progression des nuitées des résidents s’est située à + 9 pc, le nombre de nuitées des touristes nationaux étant passé de 78.021 en 2016 à 85.196 en 2017. La France, dont les nuitées cumulées sont passées de 34.334 à 43.969 nuitées entre 2016 et 2017 (+28 pc), continue d’occuper la première place avec 12,19 pc du volume global, suivie par l’Espagne dont le nombre de nuitées a affiché une évolution de 36 pc. Les nuitées des touristes de l’Italie, de la Hollande et du Japon ont progressé respectivement de 29, 31 et 62 pc entre les onze premiers mois de 2016 et 2017, alors que la Chine « continue d’impressionner » avec ses 24.937 nuitées à fin novembre dernier, occupant ainsi la 3è place en termes de nuitées après la France et l’Espagne. MAP

ONSSA: 1,2 million de tonnes de produits alimentaires contrôlés sur le marché local en 2017

L’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) a procédé, durant l’année 2017, au contrôle de 1 261 000 tonnes de produits alimentaires sur le marché local, 8 173 000 tonnes de divers produits alimentaires à l’importation et 2,66 millions de tonnes de produits alimentaires à l’exportation. Sur le marché local, les inspecteurs de l’ONSSA ont réalisé 74 800 visites de contrôle sur le terrain, dont 28 350 en commissions provinciales et préfectorales, ayant abouti au contrôle de 1 261 000 tonnes de produits alimentaires, à la saisie et destruction de 4 730 tonnes de produits impropres à la consommation et à la transmission au parquet de 2 566 dossiers pour jugement, indique l’ONSSA dans un communiqué parvenu vendredi à la MAP. Par ailleurs, 48 314 certificats d’admission ont été délivrés et 2 130 tonnes de produits alimentaires ont été refoulées pour non-conformité aux exigences réglementaires en vigueur, suite au contrôle des divers produits alimentaires à l’importation. Quant aux produits alimentaires à l’exportation, leur contrôle a abouti à la délivrance de 105 900 certificats sanitaires et phytosanitaires, précise le communiqué. En plus des contrôles des produits alimentaires, l’ONSSA a également mené, durant l’année 2017, d’autres actions de contrôle concernant notamment le contrôle phytosanitaire de 496 millions de plants ainsi que le contrôle et certification de de 1 683 600 qx de semences et 75,2 millions de plants, ajoute le communiqué. Poursuivant son programme ambitieux visant l’agrément et/ou l’autorisation de tous les établissements qui transforment, conditionnent, stockent et commercialisent les produits alimentaires conformément aux dispositions de la loi SSA, l’ONSSA a agréé/autorisé 748 nouveaux établissements en 2017, portant ainsi le nombre total à 5 669 depuis le lancement de cette opération, fait savoir le communiqué, notant que ce programme d’agrément sera poursuivi en 2018 afin de couvrir la totalité des établissements agroalimentaires, estimés à 7 500 unités. Ledit programme permettra à l’ONSSA de mieux réaliser les contrôles des aliments mis sur le marché et rassurer ainsi le consommateur sur la qualité et la sécurité sanitaire des aliments achetés. En outre, l’ONSSA a réalisé 10 379 visites sanitaires de suivi et effectué 3 271 visites d’inspection pour vérifier le respect et le maintien des exigences sanitaires dans les établissements qu’elle a déjà agréés et autorisés, précise la même source. L’office a également délivré 219 certificats d’agrément ATP pour le transport international et 7 205 certificats d’agrément sanitaire pour le transport national des produits périssables. En revanche, l’ONSSA a procédé à la suspension des agréments sanitaires de 66 établissements et au retrait d’agrément de 45 établissements pour non-conformité aux exigences réglementaires en vigueur, note le communiqué. A cet égard, l’office invite les consommateurs à s’assurer de l’existence des informations obligatoires sur l’emballage notamment l’adresse de fabrication, le nom de l’importateur, le numéro d’agrément de l’ONSSA, la date limite de consommation, etc.
MAP

M. Akhannouch: Le potentiel agricole de la province de Jerada offre la possibilité de trouver des alternatives économiques tangibles et durables

Le ministre de l’Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, Aziz Akhannouch, a affirmé, vendredi à Jerada, que les potentialités agricoles dont jouit cette province offrent la possibilité de trouver des alternatives économiques appropriées, tangibles et durables.  »Le secteur agricole pourrait être un levier de développement dans la province de Jerada’’, a dit le ministre lors de rencontres de communication tenues avec les présidents des collectivités territoriales et les représentants des parties politiques, des syndicats et des jeunes de la province, en présence du Wali de la région de l’Oriental, gouverneur de la préfecture d’Oujda-Angad, Mouad El Jamai, du président du Conseil régional, Abdenbi Bioui, et du gouverneur de la province de Jerada, Mabrouk Tabet. M. Akhannouch a fait remarquer, à cette occasion, que les résultats des projets lancés depuis 2010 sont encourageants et ouvrent des perspectives prometteuses pour le développement local, rappelant, dans ce sens, que la province de Jerada a bénéficié durant la période 2010-2017 de nombreux projets structurants qui ont nécessité un investissement global de plus de 213 millions de dirhams pour le développement des zones de parcours, la reconversion des céréales en arboriculture fruitière, l’aménagement des périmètres d’irrigation et le développement des produits de terroir. En outre, ces projets ont favorisé le développement des filières de production végétale et animale, a indiqué le ministre, relevant que les interventions du ministère ont permis d’atténuer les effets de la surexploitation des ressources naturelles, notamment dans les zones de parcours qui constituent une véritable richesse pour la région. Il a, par ailleurs, fait savoir que le ministère a élaboré un programme d’actions visant l’amélioration des revenus des agriculteurs et du niveau de vie de la population locale, ainsi que la création d’emploi, précisant que ce programme, doté d’un investissement de 28,2 millions de dirhams, sera réalisé cette année et concerne toutes les communes territoriales de la province. Les actions prévues concernent notamment l’irrigation, les produits de terroir, l’aménagement des parcours, le développement de la race ovine et caprine, l’apiculture, la plantation d’arbres fruitiers et la création de coopératives. En plus de ce programme, déjà budgétisé, le département de l’Agriculture a mis en place un ambitieux plan couvrant les trois prochaines années et visant à insuffler une nouvelle dynamique au développement socio-économique de la province de Jerada, a encore ajouté le ministre. Selon lui, ce plan est axé sur le développement des zones de parcours, le renforcement des capacités organisationnelles des agriculteurs, la création d’unités de production d’orges, l’extension du périmètre irrigué et des superficies réservées aux arbres fruitiers et la promotion de l’élevage. M. Akhannouch a réaffirmé à cet effet que les projets programmés feront l’objet d’un suivi rigoureux pour assurer leur réussite et atteindre les objectifs escomptés, mettant l’accent sur l’importance de tirer profit des ressources naturelles dont jouit la province et de mettre en place un système efficace d’économie d’eau à travers l’utilisation du goutte à goutte. Il a de même souligné la nécessité pour les agriculteurs de s’organiser au sein de coopératives pour bénéficier des facilités accordées dans le domaine de l’irrigation qui bénéficie d’un grand intérêt de la part du ministère, des autorités locales et des élus. Pour M. Akhannouch, la rencontre avec les différents acteurs locaux est une opportunité pour s’enquérir de l’avancement des programmes agricoles réalisés au niveau de la province, mais aussi pour entendre les revendications de la population se rapportant au développement agricole. Il a à cet égard fait part de la volonté des différents responsables d’interagir positivement avec les attentes de la population, notant que les potentialités naturelles et humaines de la province permettront à coup sûr de réaliser les résultats escomptés en termes de développement. M. Akhannouch a, par la même occasion, appelé à fédérer les efforts de tout un chacun pour réaliser des projets de développement de nature à favoriser la création d’emplois et l’amélioration des conditions socio-économiques des habitants. De leur côté, des acteurs présents à ces rencontres ont insisté sur l’importance de créer un nouveau modèle de développement pour la province, devant mettre à profit les potentialités agricoles dont elle regorge. Ils ont également revendiqué plus de mesures en vue d’augmenter la production des agriculteurs et des éleveurs, d’encourager les investissements, de valoriser les plantes médicinales et aromatiques et d’assurer des formations au profit des agriculteurs. La visite du ministre dans la province de Jerada témoigne de l’interaction positive du gouvernement avec les aspirations des habitants en vue de conforter le développement durable, ont-ils dit, plaidant en faveur de la création d’emploi, du renforcement des infrastructures, du désenclavement du monde rural, de la promotion du tourisme et du développement socio-économique. Le Wali de la région de l’Oriental, gouverneur de la préfecture d’Oujda-Angad, Mouad El Jamai, avait tenu, plutôt dans la journée, une rencontre de communication avec des représentants des syndicats et des jeunes de la province, en présence de chefs de services extérieurs, régionaux et provinciaux, consacrée à la présentation du plan d’urgence qui répond aux attentes pressantes de la population locale. M. Jamai a indiqué, à cette occasion, que ledit plan a été élaboré en interaction avec les revendications des habitants, assurant que d’autres mesures seront prises, à moyen et long termes, en vue de créer une alternative économique efficiente et favoriser la mise à niveau de l’espace territorial. Dans ce sens, le wali a mis l’accent sur les mesures d’urgence notamment celles inhérentes aux factures de l’eau et de l’électricité, à l’emploi, à la mise en application des dispositions de l’accord social conclu suite à la fermeture des Charbonnages du Maroc (CDM), à l’exploitation des puits clandestins de charbon et à la dégradation de l’environnement.

Madrid : Mme Lamia BOUTALEB participe à la 38ème édition de la Foire Internationale du Tourisme « FITUR »

La Secrétaire d’Etat au Tourisme, Mme Lamia BOUTALEB, accompagnée d’une importante délégation d’opérateurs touristiques marocains, prend part à la 38ème édition de la Foire Internationale du Tourisme (FITUR ), qui se tient à Madrid du 17 au 21 janvier 2018. La participation de la délégation marocaine vise la prospection de nouvelles pistes de partenariats et le renforcement de la visibilité du Maroc auprès des touristes espagnols et des différents pays participants au FITUR. De multiples actions de communication ont été de ce fait entreprises afin de promouvoir la destination Maroc. En marge de cette mission, la Secrétaire d’Etat au tourisme a tenu une séance de travail avec Monsieur Zurab Pololikashvili. M. Pololikashvili est le Secrétaire Général de l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) depuis le 1er janvier 2018. Pour rappel, le Maroc qui est membre fondateur de l’OMT, a adhéré aux statuts de cette Organisation depuis sa création en 1975. Plusieurs actions ont été réalisées dans le cadre du partenariat avec cette agence spécialisée de l’ONU. Celle-ci a entre autres accompagné le département du Tourisme dans la mise en œuvre du nouveau système de classement des établissements d’hébergement touristique, dans le développement du tourisme rural ainsi que dans l’élaboration de la Charte Africaine du Tourisme Durable et Responsable (CATDR). Mme BOUTALEB s’est ensuite réunie avec le ministre portugais de l’Economie, M. Manuel Caldeira Cabral et Mme Ana Mendes Godinho, Secrétaire d’Etat au Tourisme du Portugal, présents également au Salon. Au cours des échanges, il a été question de revenir sur la qualité de la coopération maroco-portugaise dans le secteur du tourisme. Cette coopération, rappelons-le- a franchi un nouveau pas en décembre dernier, lors de la 13ème session de la Réunion de Haut Niveau Maroc-Portugal à Rabat et à l’issue de laquelle il a été procédé à la signature du programme d’application en matière de tourisme 2018/2020. La réunion avec les responsables portugais chargés du tourisme a été également une occasion d’échanger autour du modèle portugais de formation dans le secteur du tourisme et de gouvernance tout en évoquant les horizons d’amélioration de la coopération qui lie les deux pays dans le secteur touristique. Par ailleurs, dans l’objectif de booster l’activité touristique du marché espagnol au Maroc, la Secrétaire d’Etat au tourisme a tenu une série de réunions business avec les top management des principaux tours-opérateurs, compagnies aériennes et chaînes hôtelières espagnols, dont certains sont d’ores et déjà installés au Maroc. Il s’agit entre autres des groupes Globalia, Barcelo, Iberostar, Blue Sea, et Melia. Les travaux de la Foire Internationale du Tourisme à Madrid s’étendent sur cinq jours, au cours desquels plusieurs réunions B2B et rencontres bilatérales sont prévues. Un Forum Ministériel sur le tourisme dans la région MENA est également au programme, et discutera de la consolidation de la reprise de l’industrie touristique et son développement durable.

Lancement d’une nouvelle version de la fonctionnalité « déclaration des incidents sur la route » pour promouvoir l’information routière

Le ministère de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau enrichit la gamme des services offerts par son application mobile « MaRoute » en lançant une nouvelle version de la fonctionnalité « déclaration des incidents sur la route », pour promouvoir l’information routière, en temps réel, et accroître la sécurité des usagers du réseau routier. Le ministère a mis en place cette nouvelle version de la fonctionnalité « déclaration des incidents sur la route » pour instaurer une relation participative et interactive entre l’administration et le citoyen, et ce afin d’offrir à ce dernier la possibilité de contribuer à l’amélioration de la sécurité routière, indique jeudi un communiqué du ministère. L’utilisateur peut désormais déclarer, en utilisant l’application mobile, toutes sortes d’incidents qu’il constate sur la voie publique hors agglomération notamment des accidents, des obstacles, des inondations, des problèmes de signalisation ou d’aménagement de sécurité, et ce, avec la possibilité de géolocaliser l’incident sur la carte et de transmettre la photo correspondante. Une fois déclaré par le citoyen, l’incident est notifié automatiquement à la direction provinciale concernée qui vérifie la validité de l’incident signalé et engage les actions adéquates, fait savoir la même source. L’application mobile « MaRoute » a été lancée en février 2017 à l’occasion de la journée nationale de la sécurité routière et offre aux citoyens plusieurs services dont l’affichage sur carte des événements qui perturbent ou bloquent la circulation (accidents, enneigement, inondations, travaux routiers), la notification par push mobile des incidents routiers à proximité, la visualisation des trajets et des itinéraires (incidents, travaux, points de vigilance) et la proposition de déviation éventuelle sur carte. MAP

Campagne agricole : Les dernières pluies placent la campagne  dans des perspectives positives

Le Royaume a connu ces dernières semaines d’importantes précipitations à caractère généralisé sur la quasi-totalité du territoire. Au 16 Janvier 2018, le cumul pluviométrique moyen national a atteint 132,7 mm, réduisant ainsi le déficit à 25% par rapport à une campagne moyenne à la même date. Au démarrage de la période des semis, ce déficit était de 61 %. La réserve des barrages à usage agricole s’est ainsi améliorée se situant à 4,62 Milliards de m3 soit un taux de remplissage de 35%. La Fonte des neiges ainsi que les écoulements devraient dans un deuxième temps contribuer à accroitre leur niveau de remplissage. Ces ressources contribueront également à la reconstitution des nappes phréatiques. Au plan de la campagne agricole, les dernières pluies auront un impact positif sur l’évolution du couvert végétal des parcours qui affiche actuellement un bon niveau. L’état de développement de la biomasse végétale est également prometteur laissant présager une production fourragère satisfaisante pour la couverture des besoins du cheptel national avec le maintien des prix des aliments de bétail à des niveaux normaux. Par ailleurs, le cheptel national, toutes espèces confondues, exprime un bon état sanitaire. Les cultures d’automne ont connu une importante dynamique appuyée par les récentes précipitations. Sur une surface de sol travaillée de 4,93 millions d’hectares, la superficie emblavée totalise 4,68 millions d’hectares dont 10% en irrigué dominés par les céréales à 88%, suivis des fourrages (8%) et des légumineuses (4%). Pour les cultures sucrières, la superficie semée à date en betterave à sucre est d’environ 48.300 Ha, soit 86% du programme, réparties entre Doukkala (35%), Tadla (28%), Gharb (27%), Loukkos (6%) et Moulouya (5%). Les emblavements en semences monogermes représentent 95% des réalisations. Pour la canne à sucre, la superficie s’élève à 12.409 Ha. En cas de confirmation des prévisions pluviométriques annoncées pour les semaines à venir, le niveau des ressources en eau devrait continuer à s’améliorer permettant un rattrapage du décalage de cycle occasionné par l’arrivée tardive des pluies. Par ailleurs, les cultures en place ont pu bénéficier de la combinaison des pluies avec le phénomène du froid qui les met en situation de faible demande climatique et favorise le développement des racines. Ces conditions sont également très bénéfiques pour les cultures arboricoles et particulièrement les rosacées. De leur côté, les agriculteurs sont appelés actuellement à veiller à assurer l’entretien des principales cultures en place à travers le désherbage, l’épandage des engrais notamment azotés et la préparation pour l’installation des cultures de printemps (tournesol, pois chiche, maïs,…). Compte tenu des conditions climatiques favorables au développement des maladies, le dispositif de surveillance phytosanitaire et le programme de sensibilisation des agriculteurs sur l’importance des traitements phytosanitaires contre ces maladies seront renforcés. Pour rappel, le Ministère de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts a pris, comme à chaque campagne dans le cadre du Plan Maroc Vert, toutes les dispositions nécessaires permettant d’assurer la disponibilité des intrants agricoles et la mobilisation des agriculteurs et tous les acteurs du secteur pour le bon déroulement de la campagne. Ainsi, l’approvisionnement en intrants agricoles de bonne qualité a été assuré en quantités suffisantes. Malgré le retard des précipitations au démarrage de l’actuelle campagne et l’utilisation par les agriculteurs de leurs propres semences communes issues de leur bonne production céréalière de la campagne précédente, les ventes globales de semences certifiées ont réussi à totaliser 840.000 quintaux. Les cultures d’exportation La campagne d’exportation se poursuit dans de bonnes conditions. En ce qui concerne les exportations de primeurs, les volumes se situent à 361.000 T au 16 Janvier 2018, soit une hausse de 5% par rapport à la campagne précédente à la même date. Les réalisations de la tomate représentent près de 63% des exportations globales en produits maraîchers, avec un volume de près de 227.000 T, enregistrant une hausse de 5% par rapport à la campagne précédente à la même date. Pour les agrumes, les exportations totalisent 329.000 T, maintenant leur niveau de la campagne précédente à la même date. Les agrumes petits fruits en représentent près de 93%.

M. Boussaid : La réforme du régime de change, un pas en avant vers la consolidation du positionnement de l’économie marocaine au niveau international

La réforme du régime de change constitue un pas en avant vers la consolidation du positionnement de l’économie marocaine au niveau international, a affirmé mercredi à Rabat, le ministre de l’Économie et des Finances, Mohamed Boussaid. Cette réforme consacre les réalisations accomplies au niveau du cadre macro-économique, des réformes structurelles et sectorielle et de l’ouverture de l’économie marocaine sur l’extérieur, a souligné, M. Boussaid lors d’une réunion conjointe de la commission des finances et du développement économique à la Chambre des représentants et la commission des finances, de la planification et du développement économique à la Chambre des conseillers, marquée par la présence des présidents des deux Chambres, respectivement MM. Habib El Malki et Hakim Benchamach, ainsi que du Wali de Bank Al-Maghrib (BAM), Abdellatif Jouahri. Il a, ainsi, rappelé que le Royaume a adopté à partir du lundi dernier un nouveau régime de change où la parité du dirham est déterminée à l’intérieur d’une bande de fluctuation de ±2,5%, au lieu de ±0,3%, par rapport à un cours central fixé par Bank Al-Maghrib sur la base d’un panier de devises composé de l’euro et du dollar américain à hauteur, respectivement, de 60% et 40%, notant que cette étape annonce la transition progressive vers un régime plus flexible. Cette réforme vise à renforcer l’immunité de l’économie nationale pour faire face aux crises extérieures, à appuyer sa compétitivité et à contribuer au développement de la croissance, a-t-il précisé, ajoutant que cette mesure permettra d’accompagner les mutations structurelles que connait l’économie nationale, notamment celles relatives à la diversification des sources, son ouverture et son intégration dans l’économie internationale. Il a affirmé que les conditions économiques actuelles du Royaume sont convenables pour initier cette réforme, eu égard à la solidité du secteur financier national et à la vigueur des indicateurs macroéconomiques, en particulier le niveau approprié des réserves de change et le contrôle continu de l’inflation. Le ministre a souligné que la première phase servira de signal aux acteurs pour débuter cette transition, notant que la fluctuation du taux de change dans une bande limitée à ±2,5% reste faible, surtout par rapport aux taux de fluctuation actuelle (en 2017 la valeur du dirham a augmenté de 7,6% face au dollar et baissé de 5,1% par rapport à l’euro), ce qui n’affecterait pas de manière significative le niveau d’inflation et donc le pouvoir d’achat des citoyens. Afin d’assurer une transition en douceur vers un régime de change flexible, a indiqué M. Boussaid, le Royaume va adopter une approche progressive prudente et une stratégie de communication adaptée à chaque phase de la réforme, en impliquant tous les acteurs économiques, afin de les encourager à participer activement dans ce chantier et leur permettre de s’adapter progressivement avec ce nouveau système et de mieux gérer les risques potentiels qui y sont associés, relevant que le passage d’une phase à l’autre dépendra de l’évaluation positive de chaque étape et l’existence des conditions nécessaires pour assurer le succès de l’étape suivante. Il a aussi noté que la coordination avec Bank Al-Maghrib sera intensifiée pour faire le suivi de l’évolution du taux de change du dirham et pour prendre toutes les mesures appropriées pour cette transition, ajoutant que le gouvernement poursuivra les réformes structurelles et sectorielles visant à renforcer la compétitivité de l’économie nationale et les politiques macroéconomiques saines pour réussir cette réforme. MAP

Mme Boutaleb : L’Espagne, un marché très important pour la destination Maroc

L’Espagne, qui est l’un des grands pourvoyeurs de touristes pour la destination Maroc, est un marché « très important » pour le secteur touristique du Royaume, a souligné, mercredi à Madrid, la secrétaire d’Etat auprès du ministre du Tourisme, du Transport aérien, de l’Artisanat et de l’Economie sociale, chargée du Tourisme, Lamia Boutaleb. « Le marché espagnol est le deuxième marché émetteur de touristes vers le Maroc après le marché français et le Royaume représente la première destination non européenne pour les touristes espagnols », a-t-elle ajouté à l’occasion de l’édition 2018 de la Foire internationale du tourisme (FITUR) de Madrid qui se tient du 17 au 21 janvier. La grande importance accordée au marché espagnol est illustrée, en outre, par la présence en force du Maroc à cette édition du FITUR avec une délégation de plus de 200 opérateurs touristiques marocains de plusieurs régions du Royaume, a relevé Mme Boutaleb dans une déclaration à la MAP. Rappelant la bonne performance du secteur touristique marocain en 2017 avec plus de 11.300.000 touristes ayant visité le royaume, soit une augmentation de près de 10 pc par rapport à 2016, Mme Boutaleb a fait savoir que le marché espagnol a enregistré aussi une hausse importante de l’ordre de 7 pc durant l’année dernière. Cette hausse, a-t-elle expliqué, est le résultat de plusieurs facteurs, notamment l’augmentation des connexions aériennes entre l’Espagne et le Maroc, aussi bien celles assurées par les compagnies classiques que celles opérées par les compagnies low cost. De nouvelles connexions aériennes ont été inaugurées en 2017 entre des villes marocaines et espagnoles, a poursuivi Mme Boutaleb, soulignant que toutes les grandes destinations marocaines sont désormais directement connectées à l’Espagne. La secrétaire d’Etat chargée du Tourisme a mis en exergue, dans le même sens, la présence de nombreux grands opérateurs touristiques espagnols (Globalia, Melia, Iberostar…) au Maroc et qui attirent les touristes espagnols qui préfèrent surtout le tourisme de nature et de culture. Revenant sur la participation marocaine au FITUR, Mme Boutaleb a indiqué qu’elle a pour objectif essentiellement de promouvoir le développement des affaires entre les opérateurs des deux pays et de soutenir l’activité touristique au Maroc, surtout que l’année 2018 s’annonce prometteuse pour le secteur. Le Maroc participe à cette 38 ème édition du FITUR avec un stand de 312 m2 mis en place par l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT) dans le but de promouvoir les atouts de la destination touristique Maroc. Le pavillon Maroc a été aménagé de sorte à permettre la représentation de 25 co-exposants lors de ce salon du tourisme leader pour les marchés récepteurs et émetteurs ibéro-américains. Les visiteurs du FITUR ont l’occasion également de découvrir, à travers le stand marocain, la gastronomie marocaine avec un show cooking, ainsi que l’artisanat du Maroc, avec cette année la mise en avant de la ville d’Al Hoceima, représentée par une femme artisane fabriquant des couffins. Le flux de touristes visant le Maroc en provenance de l’Espagne a connu une croissance continue ces dernières années, passant de 2.005.705 d’arrivées à fin novembre 2016 à 2.159.927 lors de la même période en 2017, soit un taux de croissance annuel moyen de 8 pc. Marrakech reste la destination favorite des Espagnols tant pour les séjours individuels que pour les ventes de packages auprès des tour-opérateurs, suivie de Tanger, Casablanca, Fès, ainsi que le produit « circuit villes impériales », selon l’ONMT. L’ONMT a prévu, dans son plan d’actions 2018, de mener de nombreuses actions de démarchage afin de gagner des parts de marché dans les principaux foyers émetteurs que sont Madrid (19%), la Catalogne (17,2%), l’Andalousie (13,6%) et Valence (10,7%). Le FITUR est sans conteste l’un des salons professionnels les plus importants pour l’industrie du tourisme en Europe. En 2017, le salon a battu un nouveau record de participation avec la présence de 9.893 exposants en provenance de 165 pays étrangers. Cette édition a également accueilli plus de 135.000 participants professionnels (tour-opérateurs, transporteurs, hôteliers, croisiéristes, offices et comités du tourisme, services, etc.) et plus de 100.000 visiteurs du grand public. Pour l’édition 2018, la participation internationale à ce salon a augmenté de 13 pc. L’impact économique attendu de cette édition est estimé à 260 millions d’euros.(MAP)
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Des houles de 4 à 6 mètres prévues à partir de mercredi après-midi

A partir de l’après-midi du mercredi 17 janvier, des houles de 4 à 6 mètres intéresseront les côtes atlantiques entre Rabat et Tarfaya, annonce la Direction de la météorologie nationale (DMN). La période pourra atteindre 14 à 20 secondes et l’atténuation commencera à partir du vendredi 19 janvier, indique la DMN dans un communiqué de météorologie maritime. Durant les journées de mercredi et jeudi, les marées de pleine mer seront de 3,0 à 3,5 m entre 02h30 et 03h30 du matin et entre 14h30 et 15h30 de l’après-midi sur les côtes atlantiques menacées, précise la même source. « Des informations plus détaillées feront l’objet des prochains bulletins météorologiques spéciaux », note la DMN.
MAP
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