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À Casablanca, M. Akhannouch présente les grandes lignes des propositions du RNI pour réformer les secteurs de la santé, de l’éducation et de l’emploi

Le président du Rassemblement National des Indépendants (RNI), M. Aziz Akhannouch, a annoncé, samedi lors du Congrès Régional du RNI pour la Région Casablanca-Settat, les grandes lignes des propositions du Parti pour réformer les secteurs de la santé, de l’éducation et de l’emploi. Ont assisté aux travaux du Congrès Messieurs Mohamed Aujjar, Mohamed Boussaid, Rachid Talbi Alami, Taoufik Kamal, et Moncef Belkhayat ainsi que Mesdames Lamiaa Boutaleb, Amina Benkhadra et Nawal El Moutawakel. Lors de son exposé, M. Akhannouch a souligné la grande difficulté des jeunes à accéder au marché de l’emploi tout en précisant que la création d’emplois décents au profit des jeunes exige une vision novatrice à même de garantir les conditions d’une vie digne aux jeunes diplômés. Pour M. Akhannouch, la création de plus 140.000 emplois est possible à travers l’investissement privé. Le RNI propose dans ce sens des mesures à même d’encourager les initiatives privées, de redonner confiance aux investisseurs et à inciter les entreprises à créer des opportunités d’emploi au profit des jeunes. Tout cela est, selon M. Akhannouch, possible grâce à la stabilité politique, économique, et environnementale du pays, et qui offre un climat favorable à l’investissement. Par ailleurs, M. Akhannouch a fait remarquer que le Maroc a mis en place les infrastructures stratégiques nécessaires pour l’émergence économique, notamment les ports, aéroports, réseaux routiers et ferroviaires, appelant à améliorer davantage le climat des affaires en révisant le rôle attribué aux centres régionaux d’investissement et en initiant une réforme à même d’améliorer leur efficacité. M. Akhannouch a par ailleurs insisté sur l’importance d’appuyer les PME à travers un certain nombre de mesures, notamment en accordant la priorité dans les marchés publics aux groupes d’entreprises qui incluent les PME dans leurs offres. A cela s’ajoute un soutient spécifique aux coopératives en les accompagnant et encourageant à exporter leurs produits vers des marchés internationaux. S’agissant du secteur de l’enseignement, M. Akhannouch a insisté sur la nécessité de trouver des solutions réelles, urgentes et globales à la crise que connait l’université marocaine, à travers notamment l’amélioration de l’orientation des étudiants et l’encouragement de l’entrepreneuriat. Concernant la réforme du secteur de la santé, M. Akhannouch a plaidé pour la mise en œuvre de la régionalisation avancée dans ce secteur vital et à engager les mesures nécessaires pour rapprocher les services de soins et de santé du citoyen. Les travaux du congrès régional du RNI dans la région Casablanca-Settat, marquée par la participation de plus de 1500 participants, ont été couronnés par la formation du nouveau Conseil régional du parti.

Le Maroc élu au Conseil de Paix et de sécurité de l’Union africaine

Le Maroc a été élu, vendredi à Addis-Abeba, au Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) de l’Union africaine.
Cette élection a eu lieu lors de la 32ème session ordinaire du Conseil Exécutif du bloc panafricain, qui se tient dans la capitale éthiopienne en prélude au sommet des Chef d’Etats et de gouvernement (28-29 janvier). Il s’agit d’une élection historique, qui vient consacrer le rôle reconnu au Royaume en tant que force de paix dans le continent et au-delà dans le monde. Le Maroc, qui siègera ainsi au CPS pour un mandat de deux ans (2018- 2020), renouvelable, a recueilli 39 voix. Les deux-tiers nécessaires pour cette élection est de 36 voix. Conformément au mécanisme établi par le Protocole relatif au CPS, l’organe exécutif de l’UA se compose de 15 Etats membres, à savoir dix pays élus pour un mandat de deux ans et cinq autres élus pour un mandat de trois ans, ceci afin d’assurer une continuité dans les activités du CPS. Le CPS demeure une plateforme essentielle pour les Etats membres de l’UA désireux de promouvoir leur politique étrangère dans le domaine de la paix et de la sécurité. L’un des objectifs du CPS clairement définis par l’Acte constitutif de l’UA est de « promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité sur le continent » selon les principes du « règlement pacifique des conflits entre les Etats membres de l’Union par les moyens appropriés qui peuvent être décidés par la Conférence de l’Union ». L’Acte constitutif de l’UA, adopté au sommet de Syrte II le 11 juillet 2000, a constitué un tournant dans l’histoire de l’organisation panafricaine qui allait accorder la priorité au développement et à la sécurité notamment par la mise sur pied d’un Conseil de paix et de sécurité. Le Protocole relatif à la création du CPS, adopté en juillet 2002 à Durban (Afrique du Sud), a établi les principaux piliers de l’architecture de paix et de sécurité africaine. Ce protocole est entré en vigueur le 26 décembre 2003 après les 27 ratifications requises et le CPS a été lancé officiellement le 25 mai 2004. L’élection du Maroc au sein de cette instance stratégique vient ainsi répondre aux vœux exprimés aussi bien par la majorité des pays africains que par les centres de recherche stratégique et sécuritaire. Des responsables africains présents lors de ce 30ème sommet de l’UA ont souligné que le Maroc a un rôle important à jouer pour le renforcement de la paix et la stabilité en Afrique, partant de la vaste expérience que le Royaume a acquise dans ces domaines intrinsèquement liés au développement et à l’épanouissement des peuples. « Le Maroc n’a jamais cessé de déployer des efforts louables dans les domaines de la paix et la sécurité dans le continent », a notamment dit le ministre nigérian des Affaires étrangères, Geoffrey Onyeama, en marge de la 32ème session ordinaire du Conseil exécutif de l’UA. Même son de cloche chez le ministre tanzanien des Affaires étrangères, Augustine Mahiga, qui a souligné que « le Maroc a un rôle important à jouer au sein du CPS ». « La présence du Maroc au sein de Conseil devra offrir au Royaume une meilleure opportunité pour renforcer sa précieuse contribution aux domaines de paix et de sécurité dans le continent », a estimé M. Mahiga, rappelant que « le Maroc a joué un rôle important dans les questions de maintien de la paix en Afrique depuis la création de l’Organisation de l’unité africaine (prédécesseur de l’UA) ». « Nous souhaitons que l’entrée du Maroc au sein du CPS sera une opportunité pour redéfinir et renforcer la position du Maroc au sein de l’UA », a ajouté le chef de la diplomatie tanzanienne, notant que « le Maroc a toujours répondu volontairement et sans hésiter aux appels de solidarité avec ses frères africains ». Dans les rangs de la communauté de la recherche stratégique, on partage cette même conviction nourrie et confortée par l’action inlassable du Maroc en faveur de la paix, la stabilité et la sécurité. L’Institut des études sécuritaires (ISS, basé à Pretoria/Afrique du Sud) souligne, dans un rapport publié récemment, que le Maroc a su développer «un Soft Power», qui renforce sa vocation en tant que voix de paix et de modération et en tant que puissance capable d’apporter sa contribution aux opérations de maintien de la paix en Afrique. « Le Maroc a déjà fait montre de son engagement en faveur de la paix en Afrique à travers sa participation effective et efficace dans des missions de maintien de la paix, qui lui ont valu le respect à travers le continent », écrit l’ISS dans son rapport, qui braque ses projecteurs sur l’impact du retour du Royaume au sein de l’Union Africaine. L’institut rappelle, dans ce contexte, que depuis son indépendance en 1956, le Maroc a participé à de nombreuses missions de maintien de la paix en Afrique. Actuellement, le Royaume dispose de Casques bleus déployés en République centrafricaine et en République Démocratique du Congo, ajoute l’ISS. MAP

Les autorités marocaines rejettent les accusations de HRW

Les autorités marocaines ont rejeté, jeudi, des accusations contenues dans le rapport 2017 de l’organisation Human Rights Watch (HRW) au sujet de la situation des Droits de l’Homme au Maroc. Suite au rapport annuel de HRW sur la situation des droits de l’Homme dans le monde au titre de l’année 2017, rendu public le 18 janvier 2018, et dont une partie a été consacrée à la situation des droits de l’Homme au Maroc, les autorités marocaines expriment leur rejet de « quelques fausses allégations et accusations mensongères » contenues dans le rapport notamment en ce qui a trait aux événements d’Al Hoceima, au procès des individus poursuivis dans le cadre des événements de Gdim Izik, et à la gestion et au traitement par les autorités publiques des manifestations et rassemblements pacifiques notamment dans les provinces de Sud, indique la délégation interministérielle aux Droits de l’Homme dans un communiqué. Au sujet de ces accusations, les autorités marocaines tiennent à apporter les clarifications suivantes: « Premièrement, les allégations relatives aux violations des droits des personnes arrêtées dans le cadre des événements d’Al Hoceima arguant que leur procès est inéquitable, sont démenties par les garanties constitutionnelles, juridiques et réelles apportées par le pouvoir judiciaire, partant du fait de son indépendance totale et l’exercice de ses attributions dans le cadre d’un procès équitable assuré. Ce qui confirme le caractère infondé des allégations de HRW est le fait que l’affaire se trouve toujours devant la justice qui n’a pas encore dit son mot.  »De quelles garanties perdues parle HRW », s’interrogent les mêmes sources. Deuxièmement : Pour ce qui est de l’affaire des événements de Gdim Izik se rapportant aux meurtriers présumés de 11 membres des forces de l’ordre, les autorités marocaines affirment que le Tribunal militaire avait déjà statué sur cette affaire, de même que la Cour de Cassation avait décidé d’annuler le verdict du Tribunal militaire et de soumettre à nouveau l’affaire à la chambre criminelle près la Cour d’appel de Rabat qui a accordé aux accusés toutes les garanties d’un procès équitable comme cela a été souligné par le Conseil national des Droits de l’Homme (CNDH) dans ses observations sur le déroulement du procès en sa qualité d’institution nationale indépendante, accréditée au statut « A » par l’Alliance Globale des Institutions nationales des droits de l’Homme, outre les affirmations d’observateurs internationaux et nationaux. De ce fait, les allégations avancées par l’ONG ne sont tout au plus qu’une réitération des allégations des ennemis de l’intégrité territoriale du Maroc. Troisièmement, pour ce qui est de l’allégation relative à « l’interdiction systématique » des rassemblements dans les provinces du Sud du Royaume, les autorités publiques affirment que cette allégation ne se fonde pas sur des données réalistes, étant donné que la gestion des rassemblements non pacifiques ou non autorisés se fait conformément aux lois en vigueur et aux engagements internationaux du Maroc en matière des droits de l’Homme. Nombre de manifestations et de rassemblements pacifiques sont organisés dans toutes les provinces du Royaume, atteignant en 2016 par exemple 11.752 rassemblements dont 755 dans les provinces du Sud. Ces rassemblements sont recensés par les commissions régionales du Conseil national des droits de l’Homme dans ces provinces ». Par conséquent, les autorités marocaines affirment que « la trajectoire du Maroc en matière de droits de l’Homme, les acquis qu’il ne cesse d’accumuler et ses avancées ne peuvent être que salués par toute organisation équitable ».

M. Boussaid : Le taux de change du dirham est « resté stable » depuis l’adoption du nouveau régime

L’évolution du taux de change du dirham depuis le 15 janvier 2018, date d’entrée en vigueur du nouveau régime, montre qu’il est resté stable à l’intérieur de l’ancienne bande de fluctuation de ±0,3, a indiqué, vendredi à Rabat, le ministre de l’Economie et des Finances, Mohamed Boussaid. Depuis le passage à un régime de change plus flexible, le niveau des réserves de changes se maintient à plus de 6 mois d’importations, a souligné le M. Boussaid lors d’un point de presse consacré à la présentation des résultats préliminaires de l’économie marocaine de l’année 2017. Répondant à une question sur l’impact de la réforme du régime du change, le ministre a affirmé qu’entre le 12 et le 24 janvier 2018, et sous l’effet principalement de l’appréciation de 1,8 pc de l’euro face au dollar, le taux de change du dirham s’est apprécié de 0,9 pc contre le dollar contre une dépréciation de 0,9 pc par rapport à l’euro. Pour ce qui est des interventions de Bank Al-maghrib sur le marché des changes, le ministre a fait savoir que les demandes des banques en devises étrangères n’ont pas dépassé, durant cette période, les 16 millions de dollars, entièrement satisfaite par Bank Al-Maghrib, notant que ces données témoignent de la confiance du marché et des opérateurs dans la valeur de la monnaie nationale. Il s’agit selon lui d’une réaction positive par rapport à cette réforme, insistant sur le fait que les résultats annoncés ne concernent que les premiers jours de l’entrée en vigueur de la réforme du régime de change. « Les premiers jours sont les plus décisifs et donnent les premiers indices », a-t-il dit, rappelant que cette réforme intervient après une longue réflexion de près de 20 ans. Le processus de mise en œuvre de la réforme du régime de change a été accéléré durant ces deux dernières années, a précisé le ministre, soulignant qu’une réforme de telle envergure requiert d’instruments pour faire face aux fluctuations des marchés. Cette réforme ne pouvait être appliquée dans un contexte de crise, sans disposer de réserves de changes suffisantes, ou en l’absence d’un secteur bancaire bien structuré en mesure de la mettre en œuvre, a-t-il expliqué, relevant que « le marché aura le dernier mot ». MAP

M. Alpha Condé: Le retour du Maroc à l’UA renforce l’unité africaine

Le retour du Maroc au sein de l’Union africaine (UA) renforce l’unité des pays du continent, a affirmé, jeudi à Addis-Abeba, le Président guinéen, M. Alpha Condé, président en exercice de l’UA. « Le retour du Royaume du Maroc au sein de sa famille africaine a montré aux yeux du monde que nos divergences ne sont pas de nature à entamer notre unité, au contraire, elles la renforcent », a affirmé M. Condé, dans une allocution lue en son nom par le ministre guinéen des Affaires étrangères et des Guinéens à l’étranger, Mamady Touré, à l’ouverture de la 32ème session ordinaire du Conseil exécutif de l’UA, qui a débuté ses travaux au siège du bloc panafricain dans la capitale éthiopienne. M. Conde, qui a conduit l’Institution continentale au cours de l’année écoulée, a, par ailleurs, évoqué les défis auxquels le continent africain est confronté. Au cours de l’année 2017, le Conseil exécutif, les organes de l’UA et les Communautés économiques régionales se sont penchés sur nombre de ces défis, notamment la persistance des crises et des conflits, le terrorisme et l’extrémisme violent, les migrations, le changement climatique, la réforme institutionnelle de l’organisation panafricaine, ou encore la place qui revient à l’Afrique sur la scène internationale, a-t-il expliqué. Les travaux du 30è Sommet de l’UA, tenu sous le thème « Gagner la lutte contre la corruption : une voie durable vers la transformation de l’Afrique », ont débuté avec la 35è session ordinaire du COREP (22-23 janvier), en prélude à la 30ème Session ordinaire de la Conférence des Chefs d’Etat et du gouvernement (28-29 janvier).
MAP

Le CMC anticipe une croissance du PIB de 3,3% en 2018

Le taux de croissance du PIB se situerait en 2018 à 3,3% au lieu de 3,7% anticipé initialement, estime le Centre marocain de conjoncture (CMC). La dynamique économique connaitrait un tassement par rapport aux prévisions effectuées au second semestre de 2017, faisant en sorte que le PIB brut à prix constants afficherait au terme de 2018 un taux d’accroissement d’environ 3,3%, en retrait par rapport à la progression de 4,1% enregistrée l’année écoulée, écrit le Centre dans sa note (34 d’Info-CMC), intitulée « perspectives économiques en 2018 croissance modérée ». Dans le détail, le CMC s’attend à ce que la valeur ajoutée de l’activité agricole connaitrait une légère croissance de 1,3%, et ce, en dépit du recul prévisible que vont accuser les cultures céréalières, de même que celle du secteur des industries manufacturières qui devrait atteindre 3,4% à fin 2018. La participation de l’activité du bâtiment et des travaux publics à la croissance de l’économie nationale resterait limitée et sa valeur ajoutée ne connaîtrait qu’une progression de l’ordre de 2,5%, analyse le Centre marocain de conjoncture qui s’attend à ce que le secteur tertiaire évoluerait à un taux avoisinant les 3%. Le CMC pense en outre que la consommation des ménages, après avoir été le moteur de la croissance en 2017, devrait marquer un fléchissement et ne progresserait que 2,8%, ce qui devrait se traduire par un léger gain de pouvoir d’achat pour les ménages. Dans le cadre de cette configuration de la demande, poursuit la même source, l’investissement jouerait le rôle de ressort pour la croissance avec un taux d’évolution en volume de 5%, ajoutant que l’évolution de l’indice des prix à la consommation pris comme indicateur d’inflation globale ne dépasserait guère les 2,2%. Le CMC estime d’autre part que le taux de chômage marquerait une détente relative et se situerait autour de 9% avec, toutefois, la persistance de fortes disparités selon le milieu, l’âge et le niveau d’instruction. MAP

Stagnation de la production industrielle en décembre

Les résultats de l’enquête mensuelle de conjoncture de Bank Al-Maghrib font ressortir une stagnation de la production industrielle et du taux d’utilisation des capacités (TUC) en décembre. Selon l’enquête, les commandes auraient connu une stagnation, avec un carnet de commandes qui se serait situé à un niveau inférieur à la normale, mais les ventes auraient enregistré une hausse tant sur le marché local qu’étranger. La production aurait progressé dans la « mécanique et métallurgie », stagné dans la « chimie et parachimie » et baissé dans l’ »agro-alimentaire » et dans le « textile et cuir », d’après les résultats de ce sondage. Pour ce qui est des ventes, elles ont augmenté dans la « mécanique et métallurgie », stagné dans le « textile et cuir », la « chimie et parachimie » et l’ »agro-alimentaire », relève la même source qui fait observer que les ventes locales auraient stagné dans l’ensemble des branches hormis la « mécanique et métallurgie » où elles auraient enregistré une augmentation. S’agissant des expéditions à l’étranger, elles auraient connu une hausse dans l’ »agro-alimentaire » et dans la « mécanique et métallurgie », une baisse dans le « textile et cuir » et une stagnation dans la « chimie et parachimie ». En ce qui concerne les commandes, elles auraient stagné dans l’ »agro-alimentaire », augmenté dans la « mécanique et métallurgie » et reculé dans le « textile et cuir » et dans la « chimie et parachimie ». Il ressort également des résultats de l’enquête que les entreprises s’attendent, pour les trois prochains mois, à une hausse de la production et des ventes, et ce dans l’ensemble des branches à l’exception de la « chimie et parachimie » où les industriels anticipent une stagnation avec la moitié des entreprises qui déclarent ne pas avoir de visibilité quant à l’évolution future de l’activité. MAP

Lancement de la cinquième édition du Grand Prix national de la presse agricole et rurale

Le ministère de l’Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts a annoncé, mercredi, le lancement de la cinquième édition du Grand Prix national de la presse agricole et rurale, visant les médias audiovisuels, écrits ou électroniques. Le Grand Prix, qui récompensera les meilleurs articles, reportages, émissions télévisées et radiodiffusées, publiés dans la période allant du 1er avril 2017 au 31 mars 2018 à travers un grand prix dans les deux catégories; audiovisuel et presse écrite ou électronique, et un second et troisième prix attribués pour chacune des deux catégories, note le ministère dans un communiqué. Le Grand Prix sera décerné lors de la 13ème édition du Salon international de l’agriculture du Maroc (SIAM) qui se se tiendra à Meknès du 24 au 28 avril 2018, précise la même source. Le Grand Prix National de la Presse Agricole et Rurale a pour objectif de récompenser les efforts des femmes et des hommes de la presse nationale dont le travail journalistique a contribué à l’information autour des secteurs de l’agriculture et du développement rural dans notre pays, explique le ministère. Les travaux seront examinés par un jury pluridisciplinaire composé des représentants des médias, de la profession agricole, du corps enseignant et de responsables du département de l’agriculture. Les sélections se feront sur la base de critères prédéfinis, détaillés dans le règlement du Grand prix, qui incluent entre autres, le choix du sujet, son originalité, la qualité du traitement, la cohérence et la qualité graphique. Les candidat(e)s au Grand Prix sont invités à consulter le dossier du Grand Prix National de la Presse Agricole et Rurale sur le site web du ministère (www.agriculture.gov.ma) qui comprend les pièces à fournir pour le dossier de candidature, le règlement du prix, et les critères de sélection. Les candidatures doivent être déposées avant mardi le 3 avril 2018 à 12h00 auprès de la Division de la communication du Ministère de l’Agriculture et de la Pêche Maritime ou par voie électronique à l’adresse : [email protected].

Plus de 1300 participants au 4è African Digital Summit en février à Casablanca

 Plus de 1.300 professionnels du digital et une quarantaine de speakers de haut niveau originaires d’une vingtaine de pays d’Afrique et d’ailleurs sont attendus à la 4ème édition de l’African Digital Summit (ADS), prévu les 22 et 23 février prochain à Casablanca, ont annoncé, mardi, les organisateurs. L’objectif de cette édition est de faire découvrir aux annonceurs les tendances du digital et anticiper sur les évolutions futures impactant leur stratégie marketing et leur fonctionnement en général au Maroc et en Afrique, a souligné Mounir Jazouli, président du Groupement des annonceurs du Maroc (GAM) et fondateur de l’ADS, lors d’un point de presse consacré à la présentation de cette édition. Comme chaque année, l’ADS regroupera les annonceurs, les professionnels du marketing et du digital, les éditeurs, les médias et les agences d’Afrique et des autres continents, a-t-il indiqué, notant que cette édition vise la consolidation du rayonnement continental et international du sommet à travers l’ouverture sur les dernières technologies AdTech et MarTech, la mise en place d’une démarche d’open innovation ainsi que le lancement d’une web TV dédiée au Digital en Afrique baptisée  »African Digital TV ».  »La technologie a transformé le marketing et la publicité, et cette tendance va s’accélérer et s’accentuer à l’avenir et rendra le rapprochement entre les marques et la technologie plus qu’indispensable », a fait observer M. Jazouli. Et d’ajouter que le quatrième ADS sera au centre de cette transformation à travers des conférences de haut niveau traitant cette tendance mais également des initiatives concrètes comme le Digital Garden, le programme d’Open Innovation ou encore le projet phare African Digital TV. Selon les organisateurs, cette manifestation constitue l’occasion pour les marketeurs et publicitaires de découvrir les tendances du digital et d’identifier les évolutions numériques futures pour réussir leur transformation et mieux piloter leurs stratégies marketing. L’événement est également une opportunité pour améliorer les relations entre les différents acteurs, initier des projets innovants porteurs de valeur ajoutée pour l’ensemble des parties prenantes et contribuer au développement des écosystèmes du digital et de l’économie numérique en Afrique. Par ailleurs, ce sommet sera marqué par la présentation des résultats de la 4ème édition de l’étude annuelle sur les tendances du digital  »Digital Trends Morocco 2018 », et l’organisation de la 2è édition des  »Moroccan digital awards ».

Initiative Royale « un million de cartables »: Plus de quatre millions d’élèves bénéficiaires au titre de cette saison scolaire

Plus de 4.262.000 élèves ont bénéficié de l’Initiative Royale « un million de cartables », au titre de la saison scolaire actuelle, a affirmé lundi à Rabat, le secrétaire d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Khalid Samadi. Dans sa réponse à une question sur les « difficultés de financement de l’initiative un million de cartables », présentée par le groupe Authenticité et Modernité à la Chambre des représentants, M. Samadi a indiqué que 46% de filles ont bénéficié de cette initiative. Concernant le financement de l’initiative, il a souligné que depuis le lancement de l’initiative, au titre de 2008/2009 jusqu’à fin 2015/2016, et en application de l’accord de partenariat pour la réalisation de cette initiative, conclu en septembre 2008, les partenaires, au nombre de 22, s’engagent à transférer les fonds, chacun selon la contribution convenue en vertu de cet accord, au compte spécial de l’Association marocaine de Soutien à l’enseignement ouvert à la Trésorerie Générale du Royaume, précisant que le ministère de l’Economie et des Finances assure la coordination entre les différentes parties. Le Secrétaire d’Etat a indiqué que depuis la saison scolaire 2016/2017, l’acquisition des fournitures nécessaires a été confiée au Ministère de l’Intérieur dans le cadre d’un accord de partenariat pour la concrétisation de l’Initiative Royale, conclu par un groupe de partenaires institutionnels le 11 août 2016. L’article 4 de cet accord de partenariat stipule que 9 partenaires institutionnels s’engagent à transférer un total de 390 millions de dirhams par an au compte du Fonds d’appui à l’Initiative nationale pour le développement humain, ouvert à la Trésorerie Générale du Royaume. MAP

Mondial-2026 : le gouvernement apporte « un soutien total » à la candidature du Maroc

Le gouvernement apporte « un soutien total » à la candidature du Maroc pour l’organisation de la Coupe du Monde de football (Mondial-2026), a affirmé, mardi à Casablanca, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Rachid Talbi Alami. Cette candidature est une opportunité pour « remobiliser toutes les énergies en vue d’insuffler une nouvelle dynamique à l’économie marocaine », a souligné M. Talbi Alami, au cours d’une conférence du comité de candidature, en présence des membres de gouvernement en charge des secteurs concernés. Il a fait remarquer que « loin des comparaisons », la candidature nationale « remplit toutes les conditions » pour réussir l’organisation d’un événement d’une telle envergure, rappelant que depuis la dernière candidature pour le Mondial-2010, le Royaume a déployé de grands efforts et a accompli d’importants investissements pour le développement de ses infrastructures, notamment sportives. D’après les projections financières, le Maroc « a la capacité de mobiliser les fonds pour faire face aux besoins d’organisation » du Mondial, sans que cela n’affecte les équilibres budgétaires, a relevé le ministre. Le Maroc est prêt à accueillir et à accorder les visas à tous les supporters désireux d’assister aux phases finales et s’engage à faciliter la mission des entreprises voulant s’implanter dans le Royaume, a promis M. Talbi Alami. En plus du Maroc, le trio États-Unis/Canada/Mexique a présenté une candidature commune pour abriter la grand-messe du football mondial en 2026.
MAP

M. Elalamy : le dossier du Maroc pour le Mondial 2026 sera de « haute facture »

Le dossier de candidature du Maroc pour la Coupe du Monde de football (Mondial-2026) sera de « haute facture », a assuré, mardi à Casablanca, le président du comité national, Moulay Hafid Elalamy. Depuis la dernière candidature en 2003, « beaucoup de choses ont été réalisées », a insisté M. Elalamy, soulignant que, d’ici à la validation des candidatures par la FIFA, en mars prochain, le comité s’attellera à préparer un dossier bien ficelé. Le Maroc a accompli plusieurs des engagements pris dans la précédente candidature (stades, infrastructures, télécommunication, transport), a-t-il encore précisé. Les points forts du dossier national sont la stabilité, la position géographique, le fuseau horaire, la passion pour le football, la tolérance et l’authenticité de la civilisation, qui peut constituer un motif de découverte pour les amateurs du ballon rond, a-t-il énuméré. Alliant « confiance » et « humilité » dans la défense du dossier national, M. Elalamy va lancer à la fin de sa présentation: « le 13 juin, on va fêter le résultat », allusion au congrès de la FIFA pour désigner le pays organisateur. En plus du Maroc, le trio États-Unis/Canada/Mexique a présenté une candidature commune pour abriter la grand-messe du football mondial en 2026.
MAP
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