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SM le Roi: Le Maroc a pris toutes les mesures nécessaires à la consolidation des fondements d’une justice indépendante

Le Maroc a pris les mesures institutionnelles, juridiques et pratiques nécessaires à la consolidation des fondements d’une justice indépendante, a affirmé Sa Majesté le Roi Mohammed VI, notant que l’indépendance du pouvoir judiciaire est d’une importance cruciale dans le renforcement de l’Etat de droit. Dans un message adressé aux participants à la conférence internationale de haut niveau sur la justice, qui a ouvert ses travaux lundi à Marrakech sous le thème “Indépendance de la justice: Entre garantie des droits des justiciables et respect des règles de fonctionnement de la justice”, le Souverain a rappelé que la Constitution du Royaume affirme expressément l’indépendance du pouvoir judiciaire par rapport aux pouvoirs législatif et exécutif, et crée un Conseil supérieur du pouvoir judiciaire, placé sous la présidence de Sa Majesté le Roi et doté d’une totale indépendance. La Constitution proscrit également toute ingérence dans les affaires soumises à la justice et confie à la loi le soin de sanctionner toute tentative d’influencer les magistrats, a ajouté SM le Roi, soulignant que la Loi suprême du pays “fait de tout manquement de la part du juge à ses devoirs d’indépendance et d’impartialité, une faute professionnelle grave, induisant, le cas échéant, des poursuites pénales à son encontre”. “Allant encore plus loin, le texte constitutionnel consacre les droits des justiciables et les règles de bon fonctionnement de la justice”, a poursuivi le Souverain, faisant savoir que la loi fondamentale assigne au juge la responsabilité de protéger les droits et les libertés des personnes et des groupes et de veiller à leur sécurité juridique, comme elle garantit l’accès à la justice, protège la présomption d’innocence et confirme le droit à un procès équitable et à un jugement rendu dans un délai raisonnable. “Nous nous sommes attaché à décliner ces principes constitutionnels dans une Charte nationale de réforme de la justice, dont l’élaboration a été confiée, par Nos soins, à une pléiade de magistrats, d’avocats, d’experts, de défenseurs des droits humains et de professionnels de la justice”, a relevé SM le Roi dans son message, faisant observer que ce travail collégial, réalisé avec une approche participative élargie, a permis de répertorier les réformes législatives et réglementaires à mener et les mesures à prendre. “C’est dans ce contexte qu’ont été adoptés des textes de loi éminemment importants, notamment deux lois organiques relatives respectivement au Conseil supérieur du pouvoir judiciaire et au Statut des magistrats. Il en est de même de la loi qui place le ministère public sous l’autorité, non plus du Ministre de la justice, mais du Procureur général du Roi près la Cour de cassation”, a expliqué Le Souverain. Le Maroc a réussi à franchir des étapes décisives pour la mise en place du cadre institutionnel de son appareil judiciaire et de sa gouvernance, a estimé Sa Majesté le Roi, exprimant le souhait de voir “activée à présent l’application des autres mesures contenues dans la Charte, qui visent à mettre en concordance les différentes législations avec les progrès réalisés, à améliorer le rendement et l’efficacité de la justice et à rendre effective et palpable l’indépendance de l’appareil judiciaire, conformément à la Constitution du Royaume”. Dans Son message, le Souverain indique qu’en dépit des avancées réalisées dans la mise en place d’un cadre institutionnel du système judiciaire, le Maroc reste préoccupé, à l’instar de tous les pays qui attachent une importance capitale à la justice, par les défis auxquels se trouvent confrontés les différents systèmes judiciaires à travers le monde. De ce point de vue, le premier défi est “de garantir l’effectivité de l’indépendance du pouvoir judiciaire dans le fonctionnement pratique de la justice”, insiste SM le Roi, notant qu’il est du devoir du juge de se plier aux exigences d’indépendance et d’intégrité et de se prémunir contre toute forme d’influence ou tentation, sous peine de tomber sous le coup d’une procédure disciplinaire ou pénale. Autre défi qu’il importe aussi de relever, selon le Souverain, est celui qui “consiste à accroître la confiance en la Justice, érigée en rempart inexpugnable de défense de l’Etat de droit et en levier essentiel du développement”. “A cette fin, l’appareil judiciaire doit se perfectionner et améliorer son rendement pour être à même d’accompagner les transformations économiques et sociales à l’œuvre dans toutes les sociétés”, a avancé SM le Roi, faisant remarquer qu’il importe, notamment à ce titre, de faciliter l’accès au droit et à la justice, de moderniser les législations nationales pour les mettre en phase avec les changements et en conformité avec les engagements internationaux du pays, en particulier, ceux qui se rapportent aux droits humains, et de prendre les mesures nécessaires pour que les décisions de justice soient prononcées dans des délais raisonnables. Le Souverain a, à cette occasion, mis l’accent sur l’importance d’assurer la sécurité juridique et judiciaire afin d’améliorer le climat des affaires, de donner aux investissements une impulsion vigoureuse et de contribuer en définitive au développement du pays. SM le Roi a également appelé au renforcement de l’efficacité et la transparence de l’administration judiciaire grâce à l’utilisation des technologies de l’information et à l’institutionnalisation des modes alternatifs de règlement des litiges. Evoquant la justice pénale, le Souverain a indiqué que celle-ci “appelle une attention particulière pour lui permettre de trouver un équilibre judicieux entre l’impératif de garantir les droits et les libertés et l’impérieuse nécessité de préserver les valeurs et les piliers de la société et de protéger le corps social contre tout danger, notamment au moment où notre monde est assailli de périls en tous genres; où les relations se complexifient constamment, où les dangers de la communication numérique s’accroissent avec les dérives que l’on sait et qui appellent des ripostes professionnelles et efficaces”. La réalisation de l’ensemble des objectifs poursuivis est tributaire de l’amélioration de la formation des magistrats, de la mise à niveau optimale des professionnels de la justice, d’un renforcement des capacités institutionnelles de l’appareil judiciaire, et d’un appui à la moralisation de l’ensemble de ses composantes, a ajouté SM le Roi, appelant, à ce propos, au développement de la coopération internationale, considérée comme un “outil essentiel pour améliorer le travail de la justice, dans la mesure où il favorise le partage des expériences et des savoir-faire entre professionnels et permet de se familiariser avec les meilleures pratiques et d’en tirer le meilleur parti”. Le Souverain a réaffirmé, à cette occasion, que le Royaume du Maroc œuvre avec détermination au développement de son appareil judiciaire pour satisfaire les besoins des justiciables, répondre aux préoccupations des citoyens et aux attentes de la société et être en phase avec les exigences du temps actuel. MAP

M. Omar Hilale au Président du CS: Le déplacement de toute structure du “polisario” vers l’Est du dispositif de sécurité au Sahara marocain “constitue un casus belli”

Le déplacement de toute structure civile, militaire, administrative ou de quelque nature que ce soit, du “polisario”, des camps de Tindouf en Algérie, vers l’Est du dispositif de sécurité au Sahara Marocain, “constitue un casus belli”, a mis en garde l’Ambassadeur, Représentant Permanent du Royaume du Maroc aux Nations Unies, M. Omar Hilale, dans une lettre transmise, dimanche, au Président du Conseil de Sécurité, M. Gustavo Meza-Cuadra. “Cet acte illégal des autres parties menace gravement le processus politique onusien que le Secrétaire Général de l’ONU et son Envoyé Personnel oeuvrent inlassablement à relancer. Avec leurs violations répétées, et maintenant élargies à plusieurs zones à l’Est du dispositif de sécurité au Sahara Marocain, les autres parties condamnent sérieusement toute chance de relance du processus politique”, a tenu à souligner M. Hilale dans cette lettre. En effet, poursuit-il, “les violations des Accords Militaires et du cessez-le-feu et l’exacerbation des tensions sur le terrain, sont antinomiques avec le processus politique qui a impérativement besoin, selon le Secrétaire Général de l’ONU, d’un environnement propice et serein”. “L’inaction de la Communauté Internationale et sa passivité à l’égard de ces violations ont, malheureusement, été interprétées par les autres parties, comme un encouragement à persister dans leurs défis”, a regretté l’Ambassadeur, Représentant Permanent du Royaume du Maroc aux Nations Unies. Le Royaume du Maroc, a-t-il indiqué, “exhorte le Conseil de Sécurité d’exiger que les autres parties cessent leurs actes attentatoires à la paix, la stabilité et la sécurité régionales”, ajoutant que “le Conseil de Sécurité est instamment appelé à user de son autorité pour imposer le respect du cessez-le-feu et des Accords Militaires et enjoindre au +polisario+ de se retirer immédiatement, inconditionnellement et complètement de la zone à l’Est du dispositif de sécurité au Sahara Marocain”. Il a affirmé, dans ce contexte, que “le Maroc qui a, jusqu’à maintenant, fait preuve de retenue et d’un haut sens de responsabilité, à la demande du Secrétaire Général de l’ONU, de son Envoyé Personnel et de la Communauté Internationale, ne saura rester les bras croisés devant la détérioration de la situation sur le terrain. Les autres parties devront, alors, assumer la pleine responsabilité des conséquences qui découleront de leurs actes”. “Le Royaume du Maroc voudrait réitérer son engagement constant et résolu en faveur du processus politique onusien et sa pleine disponibilité à poursuivre sa coopération avec le Secrétaire Général de l’ONU et son Envoyé Personnel”, a réaffirmé M. Hilale, en appelant le Président du Conseil de sécurité de faire circuler, d’urgence, cette lettre aux Membres du Conseil, et de la faire publier en tant que document officiel du Conseil de Sécurité. Il a, en outre, fait observer que “Le maintien de la présence illégale des éléments armés du +polisario+ dans la zone tampon de Guergarate constitue une violation flagrante de l’Accord Militaire N.l”, en notant qu’il s’agit là d’”un défi inadmissible au Conseil de Sécurité, à l’ONU et à son Secrétaire Général, Monsieur Antonio Guterres”, qui avait, dans ses déclarations du 25 février 2017 et du 6 janvier 2018, ainsi que dans son rapport S/2017/307, en date du 10 avril 2017, “exigé le respect total du statu quo et de la libre circulation dans la zone tampon de Guergarate”. Dans ce rapport, il avait, également, exprimé sa profonde préoccupation au sujet de la présence continue du “polisario” dans cette zone et prié le Conseil de Sécurité d’enjoindre au “polisario” de s’en retirer totalement et sans conditions. Le “polisario” a, encore une fois, récidivé, il y a trois jours, dans ses violations de l’Accord Militaire N.1, dans une autre zone du Sahara Marocain, en l’occurrence à Mahbes, a-t-il dit, précisant que plusieurs éléments armés du “polisario” se sont introduits dans cette zone, à bord de véhicules militaires, et y ont dressé des tentes, creusé un fossé et érigé des constructions à l’aide de sacs de sables. “Plus grave encore, le “polisario” s’apprête à transférer les locaux de certaines de ses structures administratives et militaires, des camps de Tindouf en Algérie, où ils ont toujours été établis depuis le début du différend en 1975, vers la zone située à l’Est du dispositif de sécurité au Sahara Marocain, dont font partie les localités de Bir Lahlou et de Tifariti. Et de rappeler, dans ce contexte, qu’à la veille de l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, sous la supervision des Nations Unies, en Septembre 1991, “la zone située à l’Est du dispositif de sécurité au Sahara Marocain, a été volontairement aménagée par mon pays, en commun accord avec l’ONU, pour être dépourvue de toute présence civile ou militaire, et ce afin de réduire les tensions entre le Maroc et l’Algérie et éviter la reprise des hostilités”. “Le Royaume du Maroc avait alors, convenu avec les Nations Unies, que la seule et unique présence dans la zone située à l’Est du dispositif de sécurité au Sahara Marocain est, et restera, celle de la MINURSO, et ce afin de consolider le cessez-le-feu. Ces faits sont consignés dans les différents échanges entre le Maroc et les Nations Unies et à travers l’interaction de mon pays avec les membres de la Communauté Internationale”, a souligné M. Omar Hilale, en précisant que l’Accord sur le statut de la MINURSO (SOMA), signé entre le Royaume du Maroc et l’Organisation des Nations Unies, stipule explicitement, dans son article 1 (b), que ses dispositions couvrent l’ensemble du “territoire du Sahara”, et donc aussi bien l’Ouest, que l’Est du dispositif de sécurité. Il a, dans ce cadre, attiré l’attention du Président du CS que “depuis plusieurs mois, les autres parties ont imprimé une escalade à leurs violations du cessez-le-feu et des Accords Militaires en vigueur, en procédant à des provocations gravissimes qui menacent sérieusement la paix, la stabilité et la sécurité dans la région”. Et de conclure que cette “cette nouvelle escalade, d’une extrême gravité, a pour objectif inadmissible et illégal de changer la réalité sur le terrain et de modifier le statu quo au Sahara Marocain. Ce que le Maroc ne permettra jamais”.
MAP

Le Maroc condamne avec force les tirs des forces d’occupation israéliennes contre des Palestiniens

Le Royaume du Maroc, dont le Souverain préside le Comité Al Qods, condamne avec force les tirs hier des forces d’occupation israéliennes contre des Palestiniens désarmés qui participaient à des manifestations pacifiques à l’occasion du 42e anniversaire de la Journée de la terre, indique le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale (MAECI). Le Royaume dénonce le recours par les forces d’occupation israéliennes à la force excessive faisant fi du caractère pacifique des manifestations et souligne que la situation dans la région requiert stabilité et retenue loin de tout acte de violence ou escalade, indique le ministère dans un communiqué parvenu samedi soir à la MAP. Le Maroc, relève la même source, réitère son soutien à l’Autorité palestinienne sous la direction du président Mahmoud Abbas et sa solidarité avec le peuple palestinien pour recouvrer ses droits légitimes et établir son Etat indépendant avec comme capitale Al Qods-Est. MAP

M. Akhannouch : « Le Royaume du Maroc ne peut en aucun cas accepter la présence provocatrice des éléments séparatistes dans la zone tampon »

Le président du Rassemblement National des Indépendants (RNI) Aziz Akhannouch a affirmé que  »le Royaume du Maroc ne peut en aucun cas accepter la présence provocatrice des éléments séparatistes dans la zone tampon  », en particulier devant la ceinture de défense et sur le territoire marocain inclus dans un accord militaire.

A l’issue d’une réunion présidée par le chef du gouvernement avec les secrétaires généraux des partis politiques représentés au Parlement, sur les derniers développements de la question de l’intégrité territoriale du Royaume, M. Akhannouch a expliqué qu’en cas d’incapacité de la communauté internationale à accomplir son devoir de protéger cette zone,  »le Royaume du Maroc a le plein droit de protéger son territoire », affirmant que le Maroc ne cédera pas un pouce de son territoire, tout en étant disposé à aller plus loin pour préserver les intérêts du Royaume ».

Retraite : Deux actifs occupés âgés de 15 ans et plus sur dix bénéficient d’une couverture

Le système de retraite couvre deux actifs occupés âgés de 15 ans et plus sur dix, avec d’importantes disparités entre milieu de résidence et régions, a indiqué le Haut-Commissariat au Plan (HCP). Le taux de couverture des actifs occupés âgés de 15 ans et plus par le système de retraite atteint 21% au niveau national, 33% en milieu urbain et 6% en milieu rural, a précisé le HCP dans une note sur les principaux résultats relatifs aux nouvelles thématiques couvertes par l’enquête nationale sur l’emploi en 2017. Les données de cette enquête ont fait ressortir que la moitié des régions affiche un taux de couverture inférieur à la moyenne nationale, alors que la région de Dakhla-Oued Eddahab enregistre le taux le plus élevé (43,7%), suivie Laayoune-Sakia El Hamra (37,8%), Casablanca-Settat (31,7%) et Rabat-Salé-Kénitra (25,8%). Le taux de couverture du système de retraite s’établit presque au même niveau, aussi bien pour les actifs occupés masculins que féminins, soit respectivement 20,5% et 21,8%, a relevé la même source, ajoutant que selon l’âge, ce taux passe de 13,2% pour les jeunes âgés de 15 à 29 ans à 23,2% pour les actifs adultes âgés de 30 ans et plus. Par ailleurs, le HCP a fait savoir que ce taux connait, à l’échelle nationale, une augmentation substantielle selon le niveau de diplôme, de 8,3% pour les actifs n’ayant aucun diplôme, à 22,3% pour ceux ayant un diplôme de niveau moyen, pour culminer à 71,6% pour les diplômés du niveau supérieur. Au niveau national, le taux de couverture du système de retraite varie considérablement selon le secteur d’activité économique, passant de 4,5% parmi les actifs exerçant dans le secteur de l’agriculture, forêt et pêche, à 8,8% dans les BTP, puis à 33% dans les services, pour atteindre 36,9%, comme valeur maximale, dans le secteur de l’industrie y compris l’artisanat. L’enquête nationale sur l’emploi qui, à partir de 2017, adopte un nouvel échantillon élargi de 60.000 à 90.000 ménages, introduit de nouvelles thématiques dans son champ d’investigation et intègre les nouvelles nomenclatures d’activités, de professions et de diplômes élaborées par le HCP sur la base des classifications internationales et adaptées à la réalité nationale en concertation avec les différentes institutions concernées. MAP

Lancement à Rabat d’un centre national de veille, d’études et de documentation en matière de handicap

Un centre national de veille, d’études et de documentation en matière de handicap, a été lancé, jeudi à Rabat, dans le but de suivre, contribuer et évaluer les divers politiques et programmes dans le domaine du handicap. Ce centre, composé des représentants de différents départements gouvernementaux directement concernés par le handicap, ainsi que des représentants de la société civile et des experts dans le domaine, agit en tant que mécanisme de veille permettant une évaluation proactive de l’évolution des problèmes du handicap et s’assigne également pour objectif d’échanger les informations entre tous les acteurs de la société. La ministre de la Famille, de la Solidarité, de l’Egalité et du développement social, Bassima Hakkaoui, qui a présidé la première réunion de ce centre, a indiqué, dans une allocution de circonstance, que le lancement de cet organisme s’inscrit dans le cadre de la promotion des droits des personnes en situation de handicap et la poursuite du chantier de réforme des politiques concernant cette catégorie. Mme Hakkaoui a aussi souligné l’importance de ce centre en tant que mécanisme de veille, mais également de collecte et de documentation des données et des statistiques dans le but de suivre l’évolution de la situation des personnes handicapées dans le Royaume. Elle a, dans ce sens, rappelé les expériences du département ministériel dans la mise en place de mécanismes de veille, notamment l’Observatoire national de violence à l’égard des femmes. Lors de cette première réunion, les membres du centre ont examiné le statut de ce nouveau-né et passé en revue ses différentes dispositions. MAP

Trois immigrants installés au Maroc sur 4 sont diplômés

La part des personnes ayant un diplôme, parmi l’ensemble des immigrants installés au Maroc, s’est élevée à 75,7% en 2017, selon le Haut-Commissariat au Plan (HCP). Une proportion de 54,1% de ces immigrants ont un diplôme supérieur et 21,6% un diplôme de niveau moyen, tandis 23,4% n’ont aucun diplôme, a précisé le HCP dans une note sur les principaux résultats relatifs aux nouvelles thématiques couvertes par l’enquête nationale sur l’emploi en 2017. L’enquête a fait également ressortir que la situation des immigrants installés au Maroc vis-à-vis du marché du travail est quasiment de même niveau que celle relative à l’ensemble de la population marocaine, indiquant que le taux d’activité des immigrants est de 48,9% contre 46,7% pour l’ensemble de la population. Ce taux atteint 64,2% parmi les hommes et 25,5% parmi les femmes contre respectivement 71,6% et 22,4% pour l’ensemble de la population, a ajouté la même source. Selon l’âge, le taux d’activité des immigrants, qui est de 74,4% parmi les personnes âgées de 30 à 44 ans, baisse à 43,9% chez les personnes âgées de 15 à 29 ans et à 31,5% pour les immigrants de la tranche d’âge de 45 ans et plus, a indiqué le HCP, précisant que le secteur des services attire la majorité des immigrants puisqu’il s’accapare, à lui seul, 78,5% de la main d’œuvre immigrante suivi du secteur de l’industrie y compris l’artisanat (12,0%). S’agissant du taux de chômage de ces immigrants, l’enquête a révélé qu’il est de l’ordre de 18,1% au niveau national et que le chômage affecte particulièrement les femmes (23,4%) plus que les hommes (16,7%) et les jeunes âgés de 15 à 29 ans (34,6%) plus que les personnes âgées de 30 à 44 ans (18,5%) et celles âgées de 45 ans et plus (1,7%). Les données issues de cette enquête ne permettent de renseigner que sur les structures ayant trait aux caractéristiques démographiques et socio-économiques des immigrants et non sur leur volume, du fait que l’enquête est représentative des ménages ordinaires résidant sur le territoire national alors qu’une partie non moindre de ces immigrants réside hors des ménages ordinaires, a expliqué le HCP. Globalement, les résultats de l’enquête ont fait ressortir qu’en 2017, 33,5% des immigrants installés au Maroc sont originaires de pays arabes, 32,5% de pays européens et 27,3% de pays subsahariens non arabes, relevant que les raisons à l’origine de l’immigration vers le Royaume, sont en premier lieu, d’ordre économique avec une part de 41,4%, d’ordre social (22,4%), pour des considérations liées à la poursuite d’étude ou de formation (11,7%) et d’ordre humain (8,6%). Concernant la répartition des immigrants installés au Maroc selon le sexe, elle révèle que près de 6 personnes sur 10 (59,3%) sont des hommes contre 40,7% de femmes. L’examen selon l’âge des immigrants installés au Maroc fait état d’une répartition presque équivalente entre les différents groupes d’âge (20,2% d’entre eux ont moins de 15 ans, 21,5% sont âgés de 15 à 29 ans, 26,2% de 30 à 44 ans et 32,1% de 45 ans et plus). Par ailleurs, le HCP a noté que 97,7% des immigrants au Maroc résident dans les villes et qu’une forte proportion des immigrants (86,9%) est concentrée dans 4 régions à savoir Casablanca-Settat (33,8%), Rabat-Salé-Kénitra (28,0%), Marrakech-Safi (15,2%) et l’Oriental (9,9%). L’enquête nationale sur l’emploi qui, à partir de 2017, adopte un nouvel échantillon élargi de 60.000 à 90.000 ménages, introduit de nouvelles thématiques dans son champ d’investigation et intègre les nouvelles nomenclatures d’activités, de professions et de diplômes élaborées par le HCP sur la base des classifications internationales et adaptées à la réalité nationale en concertation avec les différentes institutions concernées. Cette enquête porte sur les nouvelles thématiques prévues dans la réforme de l’enquête nationale sur l’emploi et qui sont en lien directe avec le marché du travail. Il s’agit en particulier de la relation entre les compétences de la main d’œuvre et les métiers exercés, de la préscolarisation des enfants âgés de 3 à 5 ans, de l’accès des femmes au marché du travail, du profil des entrepreneurs, de la couverture des systèmes de retraite et des caractéristiques des immigrants installés dans le Royaume. Outre ces thématiques, elle a introduit d’autres questions visant à appréhender certains aspects des conditions sociales de la population marocaine particulièrement celle en âge d’activité. Ces questions portent essentiellement sur la couverture médicale, la mobilité des actifs occupés entre leurs lieux de résidence et de travail, les bassins d’emploi, l’utilisation des nouvelles technologies d’information et de communication ainsi que les noyaux familiaux.
MAP

HCP: Cinq régions s’accaparent près des trois quarts de l’emploi en 2017

En 2017, cinq régions se sont accaparées près des trois quarts (72,4%) de l’effectif global de l’emploi, selon le Haut-Commissariat au Plan (HCP). Il s’agit de Casablanca-Settat (22,4%), de Marrakech-Safi (13,8%), de Rabat-Salé-Kénitra (13,5%), de Fès-Meknès (11,6%) et de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (11,1%), a précisé le HCP lors d’une rencontre mercredi à Rabat, consacrée aux principaux résultats relatifs aux nouvelles thématiques couvertes par l’enquête nationale sur l’emploi. Les autres régions affichent des parts variant entre 0,8% pour Dakhla-Oued Eddahab et 7,3% pour Béni Mellal-Khénifra, a ajouté la même source. Par ailleurs, l’enquête a fait ressortir que le poids en termes d’emploi au niveau des régions de Dakhla-Oued Eddahab, de Casablanca-Settat, de Tanger-Tetouan-Al Hoceima et de Marrakech–Safi est plus important que le poids démographique, avec un écart relatif plus prononcé pour la région de Dakhla-Oued Eddahab (1,6 fois). Pour le reste des régions, la part dans le volume global de l’emploi reste inférieure à celle dans la population totale, d’après le HCP qui a fait savoir que la région de Laâyoune-Sakia El Hamra connait l’emploi relativement le moins représenté en comparaison avec son poids démographique (0,8 fois). Les données de l’enquête ont également fait état d’importantes disparités entre les différentes régions du Royaume par rapport à d’autres dimensions notamment, la qualification des actifs occupés, la précarité d’insertion dans le marché du travail, l’organisation de l’environnement du travail, la protection sociale que procure ce dernier, ainsi que de la perception des actifs occupés de leur emploi. Ainsi, la proportion des actifs occupés n’ayant aucun diplôme a varié, durant l’année écoulée, entre 44,2% dans la région de Laâyoune-Sakia El Hamra et 66,5% à Béni Mellal-Khénifra et elle a dépassé la moyenne nationale (58,6%) au niveau de 7 régions. S’agissant de la part de l’emploi non rémunéré, composé principalement des aides familiales, elle est passée en 2017 de 4,9% dans les régions du Sud à 25,4% dans la région de Béni Mellal-Khénifra et elle a enregistré des niveaux plus importants que la moyenne nationale (16,8%) au niveau de 5 régions, a relevé le HCP, notant que cette part a été environ 11 fois plus importante en milieu rural (33,5%) qu’en milieu urbain (3%). L’enquête a fait aussi remarquer que 8,7% de l’ensemble des actifs occupés ont exercé des emplois précaires au titre de l’année 2017, principalement en tant qu’occasionnels ou saisonniers, précisant que cette proportion est passée de 4,5% dans la région de Casablanca-Settat à 15% au niveau de la région de Marrakech-Safi, pour culminer à 19% dans celle de Souss-Massa. Pour ce qui est de la part des salariés ayant exercé un emploi sans contrat de travail, elle a varié dans une fourchette d’environ 30 points, passant de 52,9% dans la région de Rabat-Salé-Kénitra à 81,6% dans l’Oriental, a noté le HCP, ajoutant que cette part a dépassé le niveau national (64,8%) au niveau de 7 régions du Royaume. Ladite enquête a également révélé qu’avec 40 points de différence, la part des salariés ne bénéficiant pas d’une couverture médicale passe de 32,2% dans la région de Dakhla-Oued Eddahab à 72,2% dans la région de Fès-Meknès, indiquant que cette part est en dessus de la moyenne nationale (58,1%) au niveau de la moitié des régions. L’enquête nationale sur l’emploi qui, à partir de 2017, adopte un nouvel échantillon élargi de 60.000 à 90.000 ménages, introduit de nouvelles thématiques dans son champ d’investigation et intègre les nouvelles nomenclatures d’activités, de professions et de diplômes élaborées par le HCP sur la base des classifications internationales et adaptées à la réalité nationale en concertation avec les différentes institutions concernées. Cette enquête porte sur les nouvelles thématiques prévues dans la réforme de l’enquête nationale sur l’emploi et qui sont en lien directe avec le marché du travail. Il s’agit en particulier de la relation entre les compétences de la main d’œuvre et les métiers exercés, de la préscolarisation des enfants âgés de 3 à 5 ans, de l’accès des femmes au marché du travail, du profil des entrepreneurs, de la couverture des systèmes de retraite et des caractéristiques des immigrants installés dans notre pays. Outre ces thématiques, l’enquête nationale sur l’emploi a introduit d’autres questions visant à appréhender certains aspects des conditions sociales de la population marocaine particulièrement celle en âge d’activité. Ces questions portent essentiellement sur la couverture médicale, la mobilité des actifs occupés entre leurs lieux de résidence et de travail, les bassins d’emploi, l’utilisation des nouvelles technologies d’information et de communication ainsi que les noyaux familiaux.
MAP

Démantèlement d’une cellule terroriste composée de 8 personnes actives dans les villes d’Oued Zem et de Tanger

 Le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), relevant de la Direction générale de surveillance du territoire national, a procédé jeudi au démantèlement d’une cellule terroriste composée de 8 personnes, âgées de 21 à 31 ans, imprégnées des idées extrémistes et des méthodes sanguinaires de DAECH et actives dans les villes d’Oued Zem et de Tanger, indique le ministère de l’Intérieur. Les investigations ont démontré que les mis en cause cherchaient à se procurer les matières premières pour la fabrication de charges et de ceintures explosives dans le but de perpétrer des opérations terroristes d’envergure visant des sites sensibles dans plusieurs villes du Royaume, en application de l’agenda subversif de l’organisation dite « Etat Islamique », précise le ministère dans un communiqué. L’enquête a révélé que les membres de cette cellule comptaient éliminer un de leurs connaissances après avoir douté de son allégeance envers « DAECH » et son adoption d’une approche contraire à celle prônée par cette organisation terroriste, ajoute la même source. Les perquisitions effectuées ont permis la saisie d’un fusil de chasse, de cartouches, d’armes blanches, d’uniformes paramilitaires et de plusieurs équipements électroniques et écrits qui font l’apologie de l’Etat Islamique, indique le ministère, qui précise que l’arrestation de ces éléments extrémistes s’inscrit dans le cadre des efforts constants déployés par les services de sécurité pour faire face à la menace terroriste croissante que représentent les adeptes de DAECH et mettre en échec leurs plans subversifs qui visent à créer le chaos et à semer la zizanie dans le Royaume. Les mis en cause seront déférés devant la justice aussitôt terminée l’enquête menée sous la supervision du parquet compétent.
MAP

Le Conseil suprême des musulmans du Kenya exprime sa volonté de tirer profit de l’expérience marocaine en matière de gestion du champ religieux

Le Conseil suprême des musulmans du Kenya a exprimé sa volonté de tirer profit de l’expérience marocaine en matière de gestion du champ religieux et de formation des imams. « Nous souhaitons bénéficier de l’expérience marocaine en matière de gestion des waqfs, des centres religieux et de formation des imams », a indiqué le président du conseil kenyan, Yusuf Abdulrahman Nzibo, dans une déclaration à la presse à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Taoufiq, mercredi à Rabat. Le responsable kenyan a affirmé qu’un échange d’expériences et d’expertises avec le Maroc est nécessaire, saluant la paix et la sécurité dont jouit le Royaume. Lors de ces entretiens, les deux parties ont discuté des moyens de renforcer davantage la coopération bilatérale et examiné les questions d’intérêt commun. M. Abdulrahman Nzibo effectue actuellement une visite dans le Royaume à la tête d’une importante délégation du Conseil kenyan, sur invitation de la Fondation Mohammed VI des Ouléma africains, en coordination avec l’Ambassade du Maroc à Nairobi.
MAP

L’entrée du Maroc au Conseil de Paix et de Sécurité de l’UA consacre le rôle reconnu au Royaume en tant que force de paix dans le continent

L’entrée du Maroc au Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africain (UA) consacre le rôle reconnu au Royaume en tant que force de paix dans le continent et sa capacité d’intégration au sein des institutions africaines, a indiqué, mercredi à Rabat, le Président fondateur du Centre indépendant de recherches et d’initiatives pour le dialogue (CIRID), Déo Hakizimana, en visite de travail dans le Royaume. S’exprimant lors d’une réunion de travail de l’Académie du Royaume du Maroc et du CIRID, dédiée à l’élaboration d’une feuille de route pour un plan d’action commun entre les deux parties, M. Hakizimana s’est félicité des initiatives entreprises par le Maroc pour encourager le dialogue politique et social en Afrique, et promouvoir l’esprit d’écoute et de tolérance mutuelle favorable à la résolution pacifique des conflits. Tout en saluant le rôle actif de SM le Roi Mohammed VI « Membre Imminent du comité d’honneur du prix Macky Sall pour le dialogue en Afrique », dans la sauvegarde du dialogue et la restauration de la paix dans le continent africain, M. Hakizimana a souligné que l’adhésion du Royaume à cette institution panafricaine a constitué « une avancée spectaculaire », dans la mesure où elle bénéficiera « sans doute », au continent en termes de mobilisation de lutte contre les conflits et exactions et de sauvegarde de la paix et la sécurité. Le président du CIRID a, par la même, indiqué que le retour du Maroc à l’Union Africaine « représente pour l’ensemble des pays africains un moment particulier » eu égard à son expérience, sa capacité d’innovation et sa stabilité, autant d’atouts qui favorisent la bonne gestion des situations conflictuelles moyennant des ressources purement africaines. « Nous allons aborder le suivi des actions que nous avons prévu avec cette prestigieuse Académie du Royaume du Maroc, à travers, notamment, le développement d’un plan de partenariat prévu entre les deux institutions et pour échanger sur les activités concrètes que nous allons réaliser ensemble au profit de la coopération maroco-africaine », a poursuit le président du CIRID, rappelant la volonté du Centre d’élargir et d’assurer le suivi de toutes les actions et propositions formulées avec l’Académie du Royaume lors de la dernière visite. Pour sa part Rahma Bourqia, membre de l’Académie du Royaume du Maroc, a relevé que cette visite, la deuxième effectuée par le Centre à l’académie, devra permettre de concrétiser de futures relations de coopération entre les deux parties. Elle a souligné que la rencontre a été l’occasion, pour les deux parties, de se pencher sur le futur partenariat entre la Fondation de l’Académie du Royaume pour la Coopération culturelle et le CIRID, et d’évaluer la première édition du Prix Macky Sall pour le Dialogue en Afrique, en perspective à une présidence marocaine de l’édition 2018. Le prix Macky Sall pour le dialogue, dont SM le Roi Mohammed VI est un éminent membre de son Comité d’honneur aux côtés du Président de la République de Côte d’Ivoire, M. Alassane Ouattara et de l’ancien Secrétaire de la Francophonie et ancien président du Sénégal, M. Abdou Diouf, a été institué le 2 juin 2016 à Genève, à l’initiative du CIRID, en présence du président de la République du Sénégal. Doté d’une enveloppe de 50 000 euros, il est décerné, chaque année, à une personnalité africaine lors d’une cérémonie officielle se déroulant à Genève. Le CIRID est une organisation non gouvernementale africaine et internationale, à but non lucratif, fondée à Genève en 1996 et jouissant d’un statut consultatif auprès des Nations-unies. Il s’intéresse principalement aux questions liées à la consolidation de la paix, aux migrations internationales et leur rôle économique, ainsi qu’au développement durable et solidaire. MAP

M. Talbi Alami pour la révision de l’approche d’intervention dans le domaine sportif

Le ministre de la Jeunesse et des sports, Rachid Talbi Alami, a plaidé, mercredi à Fès, en faveur de la révision de l’approche d’intervention dans le domaine sportif pour relever les défis auxquels est confronté le secteur. S’exprimant à l’ouverture de la première journée d’étude sur le sport dans la région, initiée autour du thème ‘’le sport, un levier de développement régional’’, le ministre a souligné l’importance de  »promouvoir le sport populaire, qui constitue un facteur d’intégration socio-économique ». Mettant en valeur la teneur du Message Royal adressé aux participants aux Assises nationales du sport, qui se sont déroulées en octobre 2008 à Skhirat, M. Alami a indiqué que son département vient d’évaluer la stratégie nationale, élaborée en la matière après le Message Royal, et la loi n°30-09 relative à l’éducation physique et aux sports, et d’effectuer l’audit de nombreuses fédérations, en vue d’élaborer des recommandations en la matière. Revenant sur les principaux objectifs de la stratégie nationale du sport, le ministre a relevé que cette stratégie vise à passer de quatre millions de pratiquants à 12 millions à l’horizon 2020 et de 263.000 titulaires de licence à 1,1 million. Et d’ajouter qu’au niveau des équipements sportifs, l’objectif établi par la stratégie est de 8.000 unités à l’horizon 2020, contre seulement 611 actuellement. Déplorant ‘’le manque de coordination des actions déployées en la matière et le sous-encadrement’’, M. Talbi a indiqué que le Maroc ‘’ne dispose pas aujourd’hui d’une industrie sportive à même de contribuer au produit intérieur brut’’. Le ministre a également souligné l’impératif d’élargir la base des pratiquants sportifs, à travers le sport scolaire et universitaire et le sport de haut niveau, dans l’objectif de mettre en place un nouveau système sportif. Initiée par le Conseil régional Fès-Meknès, cette journée connait la participation d’une pléiade de responsables régionaux et nationaux, d’élus, de sportifs de haut niveau et d’acteurs de la société civile. Plusieurs axes sont au menu de cette rencontre, dont ‘’le sport dans la région de Fès-Meknès : réalité et perspectives’’, ‘’les nouveautés des lois organiques relatives aux collectivités territoriales dans le domaine du sport’’ et ‘’lecture de la loi 30.09 relative à l’éducation physique’’. Trois ateliers thématiques figurent également au programme, à savoir ‘’le renforcement des mécanismes de la bonne gouvernance dans la gestion sportive’’, ‘’le rôle des collectivités locales dans le développement et l’animation sportive et leur rôle dans la coordination de l’appui destiné aux clubs et équipes sportives’’ et ‘’la coordination des politiques publiques régionales dans le domaine du sport’’, outre une cérémonie en hommage à certaines figures emblématiques de la scène sportive au niveau de la région Fès-Meknès.
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